The Neter Show

Ep 7 - Hypersexual World

October 04, 2023 Donald & Teddy Season 1 Episode 7
Ep 7 - Hypersexual World
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Ep 7 - Hypersexual World
Oct 04, 2023 Season 1 Episode 7
Donald & Teddy

Pouvons-nous vraiment comprendre l'impact de l'hypersexualisation sur notre société et nos enfants sans l'examiner de près? C'est le défi que nous avons relevé dans ce nouvel épisode, où nous avons gratté sous la surface de la culture moderne pour révéler les multiples facettes de cette question délicate. Nous avons exploré les manifestations omniprésentes de l'hypersexualisation dans les médias, de la télévision aux réseaux sociaux, et avons débattu de son incidence sur les jeunes et les adultes, sans oublier d'évoquer les différences culturelles, les préjugés et les stéréotypes liés à la couleur de peau.

Avec l'avènement de la technologie, l'accès à la pornographie n'a jamais été aussi facile, ce qui a alimenté une hypersexualisation généralisée de notre société. Nous avons partagé des statistiques alarmantes et discuté des conséquences de cette consommation excessive sur notre société. Néanmoins, nous avons également fait ressortir le rôle de la culture américaine dans l'hypersexualisation et la popularisation de l'apprentissage de la langue anglaise.

L'épisode se termine par une discussion sur l'éducation des enfants dans une société hypersexualisée. Quel impact cela a-t-il sur l'éducation sexuelle des enfants? Comment les parents peuvent-ils aider leurs enfants à naviguer dans ce paysage complexe? Nous avons conclu en soulignant l'influence croissante du mouvement LGBT sur la nouvelle génération et l'importance d'une éducation sexuelle adéquate. C'est un épisode essentiel et éclairant qui ne devrait pas être manqué.


Credit
@stormbeatzz - All I do
@ShittyWizardbeats - Prayer Hands
@808GUAC - Gemini
@Winnie for the logo
@lm10_draw for the picture

Produced by @dotaharqa @Teddybeearz

Show Notes Transcript Chapter Markers

Pouvons-nous vraiment comprendre l'impact de l'hypersexualisation sur notre société et nos enfants sans l'examiner de près? C'est le défi que nous avons relevé dans ce nouvel épisode, où nous avons gratté sous la surface de la culture moderne pour révéler les multiples facettes de cette question délicate. Nous avons exploré les manifestations omniprésentes de l'hypersexualisation dans les médias, de la télévision aux réseaux sociaux, et avons débattu de son incidence sur les jeunes et les adultes, sans oublier d'évoquer les différences culturelles, les préjugés et les stéréotypes liés à la couleur de peau.

Avec l'avènement de la technologie, l'accès à la pornographie n'a jamais été aussi facile, ce qui a alimenté une hypersexualisation généralisée de notre société. Nous avons partagé des statistiques alarmantes et discuté des conséquences de cette consommation excessive sur notre société. Néanmoins, nous avons également fait ressortir le rôle de la culture américaine dans l'hypersexualisation et la popularisation de l'apprentissage de la langue anglaise.

L'épisode se termine par une discussion sur l'éducation des enfants dans une société hypersexualisée. Quel impact cela a-t-il sur l'éducation sexuelle des enfants? Comment les parents peuvent-ils aider leurs enfants à naviguer dans ce paysage complexe? Nous avons conclu en soulignant l'influence croissante du mouvement LGBT sur la nouvelle génération et l'importance d'une éducation sexuelle adéquate. C'est un épisode essentiel et éclairant qui ne devrait pas être manqué.


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@stormbeatzz - All I do
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Produced by @dotaharqa @Teddybeearz

Teddy:

Précédemment dans le Néthère Chaux.

Do:

Quand tu fais la différence entre le mali et le gabon, par exemple, le mali pays musulman, le gabon, c'est un pays musulman. Donc, forcément, il y a des différences. Et quand tu regardes, par exemple, les maliens, ils sont hyper communautaires.

Teddy:

Etre avec une métisse, ou même avec une noire, qui n'a pas forcément de d'interformation ou bien de connaissance par rapport à la culture d'Oalvier. Est-ce que c'est quelque chose qui serait possible? Oui, ça serait possible, oui, ça serait possible. Donc, la couleur prime en fait. Donc, c'est la couleur, en fait, donc la mère qui dit il est parasé. Yes, bienvenue encore une fois, bienvenue à tous et à toutes pour une nouvelle mission. À le droit de uneello, sur le Néthère, les jeunes, s'est dit ça.

Teddy:

Putain, tu dis franchement bref ok, on va se retrouver pour un épisode, un épisode un peu spécial parce que c'est sur un thème qui va prendre un peu de tout l'épisode. on va pas séparer en plusieurs parties. On vous a écouté sur les propositions que vous avez pu nous donner. C'est vrai qu'il y avait beaucoup de propositions qui tournaient autour de la dynamique de couple Et on va peut-être faire ça, mais pas pour l'instant. Donc, là, d'où on se retrouve, Pourquoi aujourd'hui?

Do:

On va parler de hyper sexualisation dans la société, et des jeunes et de s'adultes, enfin, tout le monde.

Teddy:

Ok, c'est parfait ça, c'est un sujet qui me parle. Allez, on se retrouve juste après Yes, yes, yes, donc l'hyper sexualisation de la société, comme t'as pu le dire. En fait, ça parle dans plusieurs domaines. Ça parle dans plusieurs domaines Et je dirais que ça commence par, en tout cas, moi, si, en mettant, j'observe ce qu'on est en fait confronté, ça commence par la télé, les réseaux sociaux, Ouais, mais j'aimerais juste qu'on commence par un point déjà peut-être donné la définition pour les gens qui savent pas ce qu'est l'hyper sexualisation.

Do:

Donc, l'hyper sexualisation, j'ai du mal à le dire, l'hyper sexualisation, c'est la sexualisation très actionnerie, voire à l'extrême, d'une personne ou quelque chose. Aujourd'hui justement, l'hyper sexualisation que connaît notre société tout entière est bien le signe d'une différence. Donc, je vais te laisser enchaîner là-dessus. c'était juste pour.

Teddy:

Non, mais t'as raison de dire ça, parce que, justement, moi, je t'ai en train de voir, en fait, comment ça se manifeste. Mais t'as totalement raison, la définition est importante. C'est vraiment poussé à l'excerpt maintenant. Quand je parlais de la télé, je parlais des réseaux sociaux. C'est que, de manière basique, en fait, maintenant, on est d'accord de voir mettons une femme à moitié nu pour vendre, ou bien pour prendre, pour promouvoir sur les réseaux sociaux. Je donne un exemple, genre un make-up, il y a Hort, peu importe. Je me rappelle à l'époque, c'était, je se rappelle la publicité Jeanne, la boisson chaude, la plus froide des boissons chaude. Je sais pas si tu te rappelles de ça. Non, c'était une boisse. Enfin, c'était un.

:

Mais le slogan, il me jette un truc, c'est bon, ouais le slogan, il me jette un truc, ouais.

Do:

C'était incroyable.

Teddy:

C'était une femme qui buvait. En fait, elle ouvrait, c'était comme un 7-up. Elle ouvrait sa bouteille, elle en buvait, elle en mettait partout. Et je te parle de ça, j'étais petit. J'étais petit, je n'avais pas 11 ans.

Do:

Tu comprends pas, ouais.

Teddy:

Je comprends pas tout, mais en vrai, ça commence à normaliser à avoir de la nudité. En fait, ça commence à normaliser à avoir de la nudité Et, juste, je vais en bifurquer pour en prendre le sujet. Je vois, quand tu commences à avoir de la nudité, ça te stimule en fait au niveau de ton cerveau. Quand t'es jeune et tu cherches à réavoir ça, tu vois, tu cherches encore à aller voir ça, à chercher ça, etc.

:

Et c'est pour ça qu'il y a beaucoup d'enfants, c'est ce qui m'est lu Exactement.

Teddy:

Donc, il y a beaucoup d'enfants qui, voilà, qui se dirigent vers le porno. En fait, tu vois, ils dirigent vers l'accès au sexe. Et nous, à notre époque quand je dis notre époque, mais quand on était plus jeune, je vois, quand j'avais 13, 14 ans, c'était difficile d'avoir un ton accès au sexe, aux infectures. C'était difficile, tu vois, déjà, premièrement, t'es un ordinateur de faim.

Do:

Déjà, tu te souviens, c'était, C'était, je crois que c'était sur M6. À une certaine heure, ils passaient des films érotiques Et c'est là où ils ont commencé, justement, à mettre les interdictions de ces moins de 16 ans à un tardier au moins de 16 ans, à un tardier au moins de 18 ans etc.

Do:

Donc, c'était sur M6 que ça avait commencé, les films érotiques. Après, il y avait du Canal Plus en crypté. Tu te souviens où, justement, t'avais des Ouais Canal Plus? T'avais le journal du Hard, excusez-moi, pardon, t'avais le journal du Hard, ouais, et là, justement, t'avais des films porno et des films écriptés. À l'époque, il fallait avoir Canal Plus, mais c'est vrai qu'aujourd'hui, dès que Tout les jeunes ont accès au réseau, déjà à Internet, et si tu fais pas un.

Do:

GAF, ou si tu mets pas des Enfin comment on appelle ça Si tu mets pas un verrouillage pour que ton enfant ait pas accès à certains sites, ben s'il a accès, avec une facilité des concertantes, à ces sites-là. Donc, c'est un peu C'est vrai que c'est comme tu dis, c'est qu'ils ont accès à tout, et ils ont accès à tout.

Teddy:

T'as accès à tout. T'as accès à tout, et tu sais même pas qu'avoir accès à tout, c'est que c'est la facilité d'accès Parce que, techniquement, tu vois, on avait accès également. Tu vois, comme t'as dit, il y avait justement Canal Plus. C'était le premier samedi dernier, samedi du mois, je sais plus quoi, c'était écrit, mais il fallait que ton père ou ta mère soit abonnée. Donc, ça, c'est déjà un truc.

:

Il fallait que Tu fous la soleil à ce moment-là. C'est ça, c'est un autre truc.

Teddy:

C'est ce que je veux dire. Donc, t'avais quand même accès, mais c'était tellement limité, tes choix de possibilités étaient tellement limités qu'au final, tu pouvais pas avoir tant de facilité à, en fait, à consommer ce genre de contenu. Maintenant, t'as accès. T'as accès à ça sur ton téléphone, c'est-à-dire que t'as accès à ça. Tu peux avoir accès à ça H14. C'est-à-dire que tu peux être en classe, tu peux être en autif et regarder du contenu. Tu vois du contenu d'adulte, sans problème.

Do:

Et c'est ça, non. Et même au-delà de ça, c'est comme tu dis, même quand tu vas sur Insta. Sur Insta, t'as dans le fils d'actualité, tu retrouves toujours une ou deux femmes dénudées, ou peut-être aussi des hommes dénudés. Tu vois, donc, c'est ça en fait, l'hyper-sexualisation générale.

Teddy:

Et, en effet, tu vois, donc, je vais te donner un peu de chiffre, parce que les gens, ils nous aiment, impossible pour ça, tu vois, mais un peu de chiffre, tu vois, c'est des stats qui sont retrouvables sur Internet. C'est pas comme si je vais créer l'eau chaude, mais la consommation, justement la consommation pornographique. Donc, il y a JQ, le magazine JQ, un magazine internationalement connu, qui a fait une étude justement sur la consommation pornographique Et tu peux voir que, justement maintenant, 60% de la population a déjà visionné un contenu pornographique, que ce soit homme ou femme. C'est énorme. Et il parle de 60% de la population occidentale.

Teddy:

C'est-à-dire que l'étude a été réalisée. Juste pour donner un peu plus de chiffre, l'étude a été réalisée entre les États-Unis, la France, la Belgique, la France, la Belgique et l'Afrique du Sud. L'afrique du Sud, donc c'est ça. Donc, 60% des populations, de la population des membres interrogés, on a déjà regardé ça 75% des personnes qui consomment sont des hommes. Et dans les sites les plus visionnés au monde, il y a un site qui je vais pas donner le site, mais bon, il y a un site qui arrive à la 36ème position, qui est un site justement pornographique, en sachant que les premiers sites, c'est Google, youtube, facebook.

Teddy:

Donc, ça montre que là, ils donnent un peu plus de chiffres également. Ils disent que les Français et les Belges, ils ont une consommation régulière, un moyen d'une 10 à 20 minutes par jour. Donc, tu vois, les Belges admettent que 22% consultent pendant le travail et ont déjà été pris en flagant délit. Sur les 22 qui consomment pendant le travail, il y en a 20 qui ont déjà été pris en flagant délit au travail, en train de consommer. C'est drôle, c'est drôle et c'est pas drôle. Mais je sais que, à mettons moi, quand j'ai commencé à la banque.

Do:

C'est une addiction. C'est une addiction pour certaines personnes.

Teddy:

C'est vrai, c'est vrai, c'est une addiction, tu sais, parce que, justement, tu te dis en fait, t'as bien dit, le fait est en fait que le stimulus, justement le stimulus du pornographie, en fait, t'as une réaction chimique, une réaction physique. Donc, justement pour les hommes, tu as une réaction, pour les femmes, tu commences à mouiller. On va dire, tu vois, mais justement, donc, qu'est-ce qui se passe? c'est que, justement, par rapport à ça, tu essayes d'avoir un release, donc une relâche, Donc des chargements, je sais pas release, je sais pas comment dire en français, mais vraiment, c'est ça, et cet release-là, en fait, quand tu as ce moment-là, tu as ce qu'on appelle tout ce qui est dopamine. Donc, dopamine, c'est la sensation de bonheur, c'est la même manière que quand tu manges du chocolat ou quand tu te drogues. Tu vois, mais ton cocaïne ou ce genre de drogue dure.

Teddy:

Donc, cette dopamine-là, elle est artificielle parce que ton corps, en fait, il le crée en fonction d'une release-là, sauf que non, c'est juste que le release-là, il est supposé seulement arriver seulement pendant un rapport sexuel. Tu vois, cette particularité-là, il se pose à arriver pendant un rapport sexuel. Donc, toi, tu crois que c'est un rapport sexuel, mais sauf que t'as quand même de le faire autant de fois que tu veux, tu vois, puisque c'est que toi et toi, et donc, cette addiction, en fait, elle est née de là. Elle est née du fait que tu crées une artificielle. Tu crées en fait une relâche de dopamine artificielle Et donc, toi, en fait, ton cerveau, il va toujours chercher à aller chercher cette relâche-là, donc la dopamine toujours, constante, constante, constante.

Teddy:

Et quoi de mieux que, justement, avoir accès à ça sur ton téléphone, sur ton ordinateur, sur ton écran, pour faire ça, tu vois, Et c'est là justement que tu crées ton addiction. Et tout ça, en fait, ça peut après arriver. Justement, il y a un rapport, justement, qui avait été, qui était sorti, sur l'éravage du pornographique. L'éravage de la pornographique, c'est la dépression et l'anxiété. T'es déprimé parce que tu es toujours en train de chercher constamment cette sensation de bonheur. Oui, exactement, et tu n'y arrives pas, en fait.

Teddy:

Tu n'y arrives juste pas, parce que c'est artificiel. Et plus tu le fais, et plus justement ton corps, parce que ton corps, c'est une machine, c'est à dire qu'à un moment donné, il a besoin de se reposer. Mais on dit que plus tu le fais, bah, plus il t'en relâche moins, et donc, plus tu vas aller encore en chercher, plus tu vois, et plus il t'en relâche, moins Tu vois. donc, c'est un cercle qui n'est pas forcément vertueux, c'est plutôt vice-tu vois. il faut faire attention à ça.

Do:

Mais bon, pour revenir vraiment, parce que, non, c'est un peu pas éloigné du sujet, mais on est parti un peu plus de détails, voilà.

Teddy:

Technique, ouais, mais c'est important. C'est important de le dire juste pour que les personnes sachent.

Do:

Là, parlons de l'hyper-sexualisation de la société, justement, de manière générale, ce qu'on voit comment les gens, justement, ressentent ça parce que, en vrai, ça concerne plus les femmes. L'hyper-sexualisation, c'est pas un sujet qui touche les hommes, ça touche vraiment plus les femmes et les jeunes filles. Donc, j'aimerais juste te poser la question, je dirais bien avoir ton avis là-dessus.

Teddy:

Ouais, bien sûr. Pourquoi les hyper-sexualisations ont commencé? pour que ça touche plus les femmes que les femmes, les jeunes filles surtout, aussi que les hommes. C'est parce que je ne sais pas si tu as vu la série Mad Men. Si Je l'avais, vu.

Do:

Si, mad Men Exactement.

Teddy:

Dans la série, ils montrent les rois du marketing, de la publicité, etc. Exactement. Donc, c'est un monde d'homme et il y a très peu de femmes. Il y a une exactrice principale ou un seconde, bref, qui est justement une femme, qui est assistante, etc. Et là, en manière de voir la société, il faut que les hommes continuent à acheter, il faut que les hommes dépensent pour plaire aux femmes ou pour attraper de la femme.

Teddy:

On va dire, entre guillemets Et c'est parti de là, en fait, les hyper-sexualisations, elles étaient partis par le marketing. Pourquoi? Parce qu'on va mettre en scène des femmes pour inciter les hommes à dépenser. On va mettre en scène des femmes pour inciter des hommes à chercher plus, mieux de joie. Et donc, pourquoi, en fait, on met des femmes en avant? C'est parce que, justement, la majorité, tu le sais, on est des hommes. La majorité des choses que les hommes font, c'est pour plaire aux femmes.

Teddy:

Nous, ce qui nous suffit, c'est une voiture, un endroit où dormir, et voilà, on est cool, en vrai, devant, on est simple. Mais quand tu le vois, dans cette série, là, toutes les besoins marketing sont créés pour cibler les femmes, pour que la femme, après, va voir son mari et dire t'sais chérie, il faudrait qu'on ait son nouveau mixeur. Oh chérie, il faudrait qu'on ait cette nouvelle voiture. Et tu vois, en fait, donc, c'est pour ça. Et toi, quand t'es un homme et que tu vois une femme qui est mise en scène devant toi, tu te dis ok, peut-être que si j'assète ça, ou peut-être que si j'ai ça, cette femme-là, elle va être intéressée par moi, de chance.

Do:

Oui, pour apporter un peu plus de contenu à ce que tu dis. Et aussi, je pense, que la libération sexuelle qui en fait partie. On sait qu'il y a une grosse libération sexuelle dans les années 80 parce que, bon, moi, quand je t'ai p'tit, paris je donne un exemple quand je regardais des clips à la télé je sais, c'est pas les clips d'aujourd'hui Tu voyais très peu de femmes dénudées ou tu voyais plus, par exemple, des filles en baguille qui vont te faire décorer. Tu vois dans un clip qui vont danser, qui vont faire décorer, ou peut-être des filles aussi en maillot de bain. Mais c'est pas comme aujourd'hui, quand tu regardes un clip, par exemple, de Drake, où tu vois il y a 100, quante filles dans le clip?

Teddy:

50 filles qui sont sur les 100, quante filles. On n'a pas dit pas de Drake, car on va dire en fait, je suis un rageux de Drake on n'a dit pas de Drake.

Do:

C'est l'un des plus gros vendeurs. C'est pour ça que je prends l'exemple de Drake Sur les 50 filles, tu en as 35 qui sont refaites, qui ont les 100 refaites, les fesses refaites, la bouche refaites. Tu vois, et je pense que c'est ça aussi, c'est un des éléments aussi qui fait qu'on rentre dans l'hypersexualisation aujourd'hui, dans la société, c'est qu'on va de plus en plus loin pour nous faire acheter ou consommer des produits qui t'a mettre le sexe en avant.

Teddy:

T'as totalement raison. Et tu es quoi? Tu as dit un truc important. Tu as dit tu sais, quand tu regardes les clips, quand tu fais une retrospective sur l'équipe que tu as pu voir quand tu étais plus jeune et moi, je te parle de mes temps, je suis plus jeune que toi mais si tu regardes les clips, début des années 80, tu vois, c'était des clips à Michael Jackson, tu vois, parce que c'est vraiment lui qui a vraiment révolutionné l'ère du clip qui a pas la Michael Jackson, etc. C'était des chorés, c'était des mini films, c'était des productions intéressantes, c'était vraiment un visionnage artistique. Maintenant, non, c'est pas du tout ça. Tu vois, et c'est vrai, maintenant, c'est pas du tout ça. Mais juste pour revenir à ce que tu as dit, tu vois la libération sexuelle. En fait, comme tu as vu le dire de la société, c'est arrivé dans les années 70, tu vois, avec l'ère du peace and love.

Do:

Exactement, exactement, exactement.

Teddy:

Tu vois la génération X, donc la génération X qui a commencé, qui a joué là dedans. Tu vois donc, non, pardon, les baby boomers qui ont donné les générations X, donc la baby boomer qui était en fait, qui sortait de qui a été élevée par les traditionalistes. C'est à dire que on va à l'église, tu vois, tout le monde s'habille bien, etc. Et après, ils ont juste vu cette woodstock, justement, il faut qu'on essaye des nouvelles substances. En film de la weed, on se laisse pousser les cheveux, alors qu'avant c'était pas de cheveux, pas de barb. Tu vois Donc, ces personnes là, justement, les baby boomers, qui ont justement, en fait, parlé plus ouvertement de la libération sexuelle et, justement, qui ont fait en sorte que, oui, c'est devenu. Il faut qu'on en parle, il faut pas que ça reste à tabou, parce que c'est un sujet de conversation, sauf que maintenant, on est parti dans l'extrême. On est parti dans l'extrême, pardon, dans l'extrême, ou le sens où, maintenant, c'est, si t'en parle pas limite, t'es mal vu. Tu vois.

Do:

Mais ça me fait penser à un sujet, mais on en parlera dans le deuxième volet de l'émission, justement sur tout ce qui est transgenre gay etc.

Teddy:

Etc.

Do:

On peut pas commencer à le dire, mais oui, on en parlera après Et je viens de réaliser quelque chose d'important, c'est que on est tellement matricé par la culture américaine, parce qu'en vrai, quand tu regardes, comme tu disais, le mouvement EPI, ça vient de chez eux et c'est ce mouvement là qui a découlé sur les autres pays, parce qu'on a une certaine période dans les Etats-Unis, qui était la première puissance mondiale. Donc, ils ont influencé le monde et ils ont influencé c'est la culture, les américains, c'est des chômanes extraordinaires. Et quand tu regardes même, par exemple, nous, en France, on s'inspère beaucoup de la culture américaine. Donc, en vrai, quand tu prends justement cette génération Pissenlove, ou justement C&J, etc. Etc. Le reste du monde a suivi et c'est comme ça, pour moi, que les perse-sexualisations ont commencé, parce que, même quand tu regardes les clips américains, les autres ont voulu suivre aussi en faisant un peu près pareil.

Teddy:

C'est l'importance de l'exportation américaine et c'est pas que les américains, la culture anglo-saxonne en général, ça a remporté et c'est pas forcément mauvais. Je suis en train de critiquer ça, mais justement dans les années 90 ou 90, je ne sais pas si tu te rappelles, mais il y avait énormément d'écoles. Début 2000 aussi, il y avait énormément d'écoles pour apprendre à parler anglais. Tu te rappelles ou pas?

Do:

Tout le monde voulait apprendre à parler anglais.

Teddy:

Et je ne dis pas que c'est mauvais, je le contrefasse, c'est bien. Mais si c'était tellement devenu important, tu as de parler anglais. Et maintenant tu le vois, l'anglais ce n'est pas la langue la plus parlée au monde, mais, en fait, non techniquement. Non, techniquement, c'est le mandarin qui est la langue la plus parlée au monde, mais en termes de pays, par nombre de pays, c'est la langue la plus parlée au monde, mais c'est pas la langue la plus parlée au monde, mais au final, tu te retrouve à ce que ce soit la langue de business. En fait, c'est pour faire du business, faire de relation.

Do:

Exactement comme le dollar. Quand il y avait des grosses transactions mais c'était la plupart des transactions étaient en dollars. Quand ils prenaient le baril, le prix du baril de laissances sont en dollars.

Teddy:

Exactement donc c'est ça justement, ils ont réussi à promouvoir leur culture, à promouvoir leur réalité, leur idéo, etc.

Do:

Et à imposer aussi.

Teddy:

À, imposer ouais maintenant, justement pour transitionner, je te pose une question, toi justement, par rapport à cette société, justement l'hyper sexualisation de cette société, comment tu vois élever tes enfants, comment tu vois l'avenir? en fait par rapport à ça.

Do:

tu vois, Alors, bon, moi, il faut savoir que j'ai un fils. J'ai un fils de 6 ans, big Dedica Satoy, qui est maître, si tu écoutes cette émission un jour, bon, en espérant que tu écoutes ça quand tu seras majeur, quand même, parce qu'on parle des sujets. Donc, comment je me vois élever mon fils, ecoute, tu sais, en tant que parent, tu essaies vraiment de protéger ton enfant. Pas de le surprotéger non plus, parce qu'on sait ce que c'est en jambes ou de la surprotection des enfants, mais tu essaies à minima de protéger ton enfant. Moi, par exemple, ma crainte on en parlera dans le deuxième volet de l'épisode c'est de me promener un jour avec mon fils et de voir deux hommes s'embrasser dans la rue Et que mon fils me demande pas pourquoi il s'embrasse. Ça, c'est l'une de mes craintes que j'ai, après pour l'hyper sexualisation, il va grandir dans ça. Quand tu regardes le Dharfan, qui était parti au cinéma, je l'ai emmené voir Toy Story.

Do:

Dans Toy Story, il y a une scène où il y a deux femmes, deux jouets féminins qui s'embrassent. Le petit, lui, il n'a pas fait attention, il n'a pas fait attention, mais moi, en tant que parent, je me dis que c'est incroyable de mettre ce genre de scène dans un dessin animé pour des enfants, pour une catégorie de public, en l'occurrence là, c'est des enfants. C'est incroyable de mettre ça, mais c'est inévitable. En fait, c'est inévitable, ça veut dire que tu vas éduquer ton enfant. Tout ce que tu peux faire, c'est de le prévenir sur les risques et sur les dérives que ça peut apporter. Mais il faut discuter et faire de la prévention, je pense, en expliquant que tout ce qu'il voit, ce n'est pas forcément le bon exemple, tout ce que tous les dessins animés ou peut-être les films qu'ils voient en étant jeunes, ce n'est pas forcément le bon exemple et que ce n'est pas forcément comme ça que ça se passe dans la réalité. Donc, je pense qu'il faut sensibiliser.

Do:

En fait, normalement faut sensibiliser sur ça et on vit dans une époque où tu vas te tourner la tête, tu verras quelque chose qui va te déplaire. Tu vas tourner la tête de l'autre côté, ça va être pareil. Si tu veux tout contrôler, tu vas vivre dans une forêt, dans une cabane en bois, avec ton enfant et là, tu es sûr de tout contrôler et tu ne le mets pas dans une école publique ou privée, mais tu fais son éducation toi même. Tu veux dire qu'il reste là, à la maison. Mais est-ce que c'est une bonne chose aujourd'hui de faire ça avec son enfant. Tu ne le coupes pas quelque part aussi du monde extérieur.

Do:

Donc, je pense qu'il faut jongler avec tout ça. Et puis, il faut faire de la prévention. Discuter Après, tu sais, c'est jamais une vraie science. Tu peux faire de la prévention avec ton enfant et il finit comme Comment il s'appelait là Demme-ameur, ah demeur. J'ai fait demeur, demmeur. Voilà, j'ai fait demeur. Tu vois, tu peux tout faire pour ton enfant et il finit comme ça. C'est pas une science exacte, c'est vraiment chacun sa chance. Et tu peux donner quand même des armes et essayer de donner des armes à ton enfant pour qu'ils ne tombent pas dans ce genre de piège.

Teddy:

Totalement. En tout cas, merci pour la réponse et merci d'être ouvert. Ouais, j'ai rien ajouté, en fait déjà. Premièrement, j'ai pas d'enfant, donc que je sache, ah, j'ai pas d'enfant, je rigole. Mais ouais, juste pour finir et pour passer justement à la deuxième partie que tu as tisé un peu plus. Une fois, c'est ça mon père, il a dit à ma sœur et il m'a dit aussi qu'il n'y a pas de manuel pour éduquer un enfant. Il n'existe pas. Tout ce que tu peux faire, c'est faire ton mieux. Exactement, juste le fait qu'il ne faut pas que tu aies de regrets, c'est-à-dire qu'il ne faut pas que tu te dis à la fin Ah, j'aurais pu faire si non, non, t'as fait ton mieux, il faut que tu donnes tout, c'est en instant présent».

Do:

Après, c'est pas toi qui décide de tout façon, c'est ça, tu sais. après, comme on te dit, il y a le monde extérieur, il y a l'environnement, il y a aussi parce que tu sais que les enfants sont très influenciables. Donc, il faut aussi essayer d'incliquer cette fibre-là à ton enfant, de pas être influenciable. C'est pas parce que les gens font, on fait ça, que tu vas suivre comme un mouton. il faut faire ce dont tu as envie. Et moi, c'est ce que mes parents m'ont occulqué. Enfin, plus jeune, ma mère m'a appris à ne pas être influenciable Et je le remercie, parce que j'aurais pu très mal finir. c'est beau, mais bon, c'est un autre sujet.

Teddy:

Vas-y, on passe à la suite. Donc, voilà, merci d'avoir découvert Et comme, justement, tu l'as tisée, quand on a enatisé, on sait de quoi on va parler sur cette partie 2. C'est partie de, justement, l'hyper-sexualisation et, justement, il est fait que ça sur nos enfants Et il est fait que la société a sur nos enfants. Et on va commencer par juste donner un peu de chiffre. Tu connais, je suis un mec de chiffre Et après, t'es divasé L'hyper-sexualisation de la société et même le fait que la parole sur les sexes, les gens parce que c'est devenu ça, les gens, la communication sur les gens ou les communications sur les gens, a explosé sur les deux, voire trois dernières années. Je suis donné un peu de stats, on a parlé un peu des bébés que vous meurs avant et de la génération X. Il faut savoir, ils ont fait une étude il n'y a pas si longtemps, en décembre 2021, ils ont interrogé 12.400 américains, habitants des États-Unis, qui leur demandaient est-ce que tu te reconnais ou est-ce que tu te considères membre de la communauté LGBT?

Teddy:

Donc, les traditionalistes, c'est sûr et certain qu'il y en a beaucoup moins maintenant. Les traditionalistes, toutes les personnes qui sont nées avant les années 40, 0.8% de la population disait qu'ils se reconnaissaient ou qu'ils comprenaient leur combat. Les bébés boumèrent. Entre 46 et 64, disait 2.6%. La génération X, on va dire nos grands frères, entre 65 et 80, 4.2%. Les milléniums, donc nous, les milléniums, génération 80 à 96, 10.5%. Et là maintenant la génération Z, de 97 à 2003,. 20.8%, donc 21%. C'est énorme. En fait, c'est énorme, ça veut dire que maintenant, quasiment un enfant sur 4 considère membre de la communauté LGBT. C'est quand même un constat qui est un peu alarmant. Alarmant pourquoi? Parce qu'il faut savoir que, malheureusement, jusqu'à prof du contraire, même si encore la médecine est évoluée, etc. Il faut encore 2 personnes de sexe opposées pour faire des enfants.

Teddy:

Non, mais c'est vrai. Là, je suis juste en train de, c'est juste un fait. Il faut savoir que, justement, quand tu transitions, quand tu es un homme et que tu transitions vers une femme, malheureusement, tes organes reproductifs ne fonctionnent pas pour reproduire et vice-versa, quand tu es une femme et que tu transitions vers un homme, un vers un homme, tes organes reproductifs ne sont plus des organes reproductifs, mais juste des organes. Donc, il faut faire attention à ce genre de choses. Mais juste pour dire que tu parles d'influence, tu parles d'influence. C'est pourquoi je disais ces chiffres-là, c'est parce que, justement, plus on en parle donc je ne dis pas forcément que c'est bon ou mauvais ou quoi que ce soit plus on en parle et donc, quand on est fait, plus le message, en fait, est audible pour les enfants, plus tu es jeune et plus tu te dis oh, ouais, un enfant, comme tu as dit, un enfant est très vite influençable, et très influençable parce qu'il sait déjà, il est en train de construire son cerveau, il construit son cerveau vis-à-vis de ses parents, vis-à-vis de sa fratrice, il a des frères et soeurs et en plus de ça, maintenant, il faut qu'il construit son cerveau, son analyse critique, son autocritique, vis-à-vis de la société.

Teddy:

Donc, c'est sûr et certain que s'il est déjà confus dans sa manière d'être et on a tous été un peu confus juste pour parler de moi, quand j'arrive en France, moi je ne voyais pas la différence entre moi Camerounet et un Français. Moi, je ne comprenais pas, en fait, pourquoi les gens, ils disaient que j'étais étranger Et quand, après la première fois que je suis parti au Cameroun, je ne comprenais pas pourquoi ils disaient que je n'étais pas Camerounet. Je comprends Si, à ce moment-là, dans cette période de ma vie où j'étais très confus par mon identité propre, en plus de ça, on commençait à me parler ma sexualité et que moi, je ne sais même pas ce que je vois et que, t'inquiètes, t'es dit, toi ou elle t'aime les hommes. C'est sûr et certain que je serai plus de facilité à écouter à ce moment-là. C'est pour ça que je trouve que, justement, l'hypersexualisation de la société, et donc qu'il y a des tournes vers nos enfants, justement avec l'éducation sexuelle à l'école primaire, ça fait en sorte qu'il faut faire attention quand même à ça. Une dernière state après, je vais te laisser parler.

Teddy:

En 2015, une étude sur le comportement a été faite En 2015, ils ont interrogé des étudiants. Tout ce qui est high school. High school, c'est lycée, high school jusqu'à l'université. En 2015, il y avait juste 11% de la population qui se considérait membre, bien qu'ils comprenaient le mouvement LGBT. En 2021, on a 26%. Donc, ça montre encore une fois que, oui, c'est bien d'en parler, mais le fait qu'on en parle, ça influe également et ça crée justement un groupe vis-à-vis de ça, en fait un groupe de pensées, une manière de penser qui influit sur ça. Donc, je sais que tu l'as déjà dit, c'est beaucoup, mais quand je te dis tout ça, qu'est-ce que tu en penses?

Do:

Oui, Bah écoute, je ne sais pas si je peux dire que c'est une bonne chose ou une mauvaise chose, mais par rapport au stats que tu as donné, donc, on parle de 0,001, on se retrouve à 21%, c'est ça Exactement. Ouais, Mais ça va encore augmenter dans les années à venir. Ça va encore augmenter.

Teddy:

Sûrement, si c'est possible.

Do:

Le mouvement LGBT.

Do:

Donc, il faut qu'on rappelle aussi, puisque moi, tu sais que j'aime bien donner des définitions, parce que c'est toujours bien qu'on comprenne de quoi on parle. Donc, lgbt, ça veut dire quoi? Donc, de L, de l'SBN, de G pour gay, le B pour bisexuel et le T pour transgenre. Donc, tu sais, moi, je suis quelqu'un d'ouvert, en fait, je suis vraiment quelqu'un d'ouvert et je pense qu'il ne faut pas être fermé d'esprit. C'est en étant fermé d'esprit qu'on n'évolue pas et qu'on n'avance pas. Aujourd'hui, je ne pourrais pas dire que je fais partie du mouvement LGBT. Si tu me poses la question, je ne pourrais pas dire que je fais partie de ce mouvement-là. Mais je peux entendre qui est lesbienne, qui est des gays, qui est des bisexuels, qui est des transgenres. Moi, ce qui me dérange avec ça, avec ce mouvement, c'est qu'on veut nous imposer. En fait, ce mouvement-là, c'est les gars. Voilà, nous, on s'est rassemblé, on a créé notre mouvement et vous devez nous accepter.

Do:

Regardes, aujourd'hui, quand tu regardes une série, par exemple, quand tu regardes une série, je suis friandre de série, mais quand tu regardes, je vais prendre un exemple. Je ne sais pas si tu as vu la série OZ, Oui, bien sûr, oz, bien sûr. Donc, je vais vous faire un petit résumé, un très court et très bref, sur la série OZ. En fait, ça parle d'un homme qui tue une personne sans faire exprès et qui se retrouve en prison. Quand il arrive dans cette prison-là, il se fait violer par un autre détenu Et, au fil de la série, et au fil des saisons, il devient gay. Ce mec-là était hétéro à son entrée en prison et il finit par devenir gay. C'est l'une des premières séries, moi déjà, qui m'a bouleversé et qui m'a donné de part, qui m'a fait dire que je ne dirais jamais en prison, je touche du bois.

Teddy:

Est-ce que tu peux rappeler à quel moment cette série est sortie? Je?

Do:

crois que c'était dans les années 1999, 1998. C'est ça, c'est ça, c'est sûr, c'est il y a 20 ans, donc ça te met aussi une claque. Oui clairement.

Do:

Surtout que j'ai vu cette série en étant adolescent. Mais aujourd'hui, quand tu regardes les séries, qu'il peut y avoir, mais dans toutes les séries, on te met un gay, ces limites, c'est devenu obligatoire. Ça veut dire qu'on ne peut plus faire des séries sans mettre un gay, sans avoir une scène où tu vois le mec embrasser un autre homme. Et tu sais, nous on avait cette puder-là, à l'époque où, quand on voyait une scène où il y avait de la sexualité, tu te changais de tien, tu tournais la tête. Tu sais, quand t'étais avec tes parents, c'était hyper gênant. Mais aujourd'hui, c'est devenu normal, c'est devenu banal. Donc, moi, en fait, depuis la nuit des temps, on sait qu'il y a des gays, on sait que ça existe, les gays, depuis la nuit des temps. Si vous voulez faire vos affaires, faites-le en privé. En fait, ça ne dérange personne Ce qui se passe entre quatre murs, demain, tes gays, voilà, tu t'es avec ton copain entre quatre murs, vous faites vos affaires, ça ne me regarde pas, tu fais ce que tu veux.

Do:

Mais pourquoi Oui, excuse-moi, je juste ai terminé. Mais pourquoi maintenant devoir faire accepter aux gens qui ne sont pas d'accord Le fait que j'ai envie d'embrasser mon copain dans la rue, comme ça, devant tout le monde, ou faire des trucs à caractère sexuel devant tout le monde? ça peut être choquant pour certaines personnes et il faut aussi l'entendre. C'est pour ça que je te dis je prends pas parti en disant que je suis contre des lesbiennes, des gays, des bisexex. Il peut y en avoir, ils peuvent avoir leur communauté, ils peuvent faire ce qu'ils ont envie de faire, mais il faut aussi qu'ils acceptent que ça puisse arter beaucoup de personnes.

Teddy:

Mais, justement, je vais faire l'avocat du job. Tu me connais et je vais te poser une question, justement par rapport à ce que tu viens de dire. Tu parles de la communauté LGBT, mais est-ce que tu auras la même fermeté vis-à-vis d'un couple hétérosexuel qui décide de s'embrasser ou de faire des comment ça se montait dessus, comme ça, en public?

Do:

Oui, oui, ok, ok, De toute façon, t'es dit c'est interdit de coucher dans l'espace public. Tu imagines que c'était pas interdit, c'est interdit et non, oui, c'est dérangeant un peu. Tu t'entraînes, marcher dans la rue, c'est malaisant. Tu marches avec ton enfant dans la rue et tu vois un couple hétérosexuel entre. Tu roules une pelle comme si, tu vois, tu roules une pelle et se caressais. Moi, ça m'est déjà arrivé de marcher dans la rue et de voir des gens. Tu vois, c'est pas l'endroit, c'est pas l'endroit.

Teddy:

Non, non, on est fait Et tu l'as dit un peu tout à l'heure. tu as un peu répondu à la question.

Do:

Excuse-moi de te couper. Justement, on dit place publique Et dans la place publique, on doit respecter. on se doit de respecter nos concitoyens.

Teddy:

Ok, merci. Merci, Monsieur Candide, à la présidence Vous êtes pour moi 2026, deux présidents.

Do:

Vas-y frère.

Teddy:

Mais tu as un peu répondu à ça tout à l'heure, par rapport à ton fils et tout. Donc, toi, tu dirais que, justement, pour accompagner ton enfant, ou les enfants de manière générale, à faire ça, il faudrait juste sensibiliser, à avoir une communication assez ouverte, leur expliquer ce genre de choses. Mais est-ce que maintenant, je vais te poser une question qui peut fâcher, mais est-ce que maintenant, toi, tu es pour l'éducation sexuelle, justement pour nos enfants, au sein des écoles primaires?

Do:

En primaires, non En primaires, non Au collège.

Teddy:

Ce serait quel âge alors?

Do:

Tu sais, moi, après, je prends toujours mon exemple à mon, j'ai pas eu d'éducation sexuelle en primaire. Mon éducation sexuelle, elle a commencé au collège. Elle a commencé, c'est un SVT, science de la vie et de la Terre. C'est un sixième. C'est là où, vraiment, on a commencé à, justement, parler du corps humain, de parler de direction, ce que c'est qu'une érection, ce que c'est que le vagin.

Teddy:

Juste à mener un peu une précision. Ça, c'était l'éducation en fait biologique, c'est normal. C'était une éducation sexuelle des organes reproducteurs. C'était pas une éducation sexuelle en tant que telle. L'éducation qui est donnée en fait les cours qui sont donnés de nos jours, que ce soit au Canada, aux États-Unis, en France ou en Angleterre enfin bref, tu n'aimes les pays C'est une éducation sexuelle, à savoir sur le plaisir, l'orgasme, l'échange, les fluices.

Do:

Oui, mais c'est pour ça que je réponds à ta question. Je t'ai dit non, Pour moi, au primaire, non Au primaire, non au collège.

Teddy:

Je pense que le même au collège, c'est ce genre de conversation et adéquat Genre, savoir comment donner en agresse à ta partenaire, à ton partenaire, etc. C'est important.

Do:

Non, non, non, non, c'est pas convenable, mais c'est pour ça que je t'ai dit. On parlait Ça commence par le corps humain. Donc, avant d'arriver, justement, à ce stade de plaisir, on t'apprend déjà l'anatomie du corps humain. Tu comprends un peu ce que je veux dire. On t'apprend d'avoir l'anatomie du corps humain Et ensuite, on va te parler un peu plus tard du plaisir, on va te sensibiliser au plaisir. Quand même.

Do:

Enfin, moi, dans mon éducation c'est l'éducation que j'ai réussi à dire qu'en primaire, on n'a jamais parlé du corps humain, on n'a jamais parlé des organes reproducteurs, on n'a jamais parlé des règles d'une femme. En primaire, je ne savais pas ce que c'était. C'est quand je suis arrivé au collège que là, on m'a sensibilisé là-dessus et qu'on a commencé cette éducation sexuelle. Et c'est normal, parce que quand tu arrives au collège, c'est là où on va dire ton adolescence après, bon, les femmes sont un peu plus précoces que nous, mais en tant qu'homme, enfin, en tant qu'homme, quand tu arrives au collège, c'est là où ton corps commence à changer, c'est là où tu vas commencer, peut-être, à avoir des poils plus bien qui vont apparaître, c'est là où tu vas peut-être commencer aussi à avoir tes premières érections, c'est là où, vraiment, tu découvres en fait ton corps aussi.

Do:

Donc c'est ça que je te dis que en primaire, pour moi, non, on ne devrait pas parler de ça. Je pense qu'en primaire, on doit se concentrer sur les bases Et quand tu arrives au collège, comme ton corps est en pleine transformation, oui, on doit te sensibiliser là-dessus pour que tu puisses comprendre. Parce que, tu sais, il y a des familles et des parents qui n'ont pas ces sujets-là avec leur enfant. Moi, par exemple, pour prendre mon exemple à moi, moi je n'ai jamais eu ces conversations-là avec mon père ou avec ma mère. La première fois que j'ai eu une érection, j'en ai parlé à personne. Je ne comprenais pas trop ce qui m'est arrivé, mais Non, mais c'est sûr ouais, c'est sûr, c'est sûr.

Do:

Mais l'école, au niveau du collège, j'ai eu cette éducation-là Et ça m'a aidé dans un premier temps. Après, ce n'est pas comme aujourd'hui, comme on disait, les enfants, ils ont accès à tout, tout aujourd'hui, ils ont accès à la pornographie. Donc, ils veulent reproduire des fois ce qu'ils voient dans un film porno alors qu'ils ne savent même pas ce que c'est. Donc, voilà mon point de vue sur le sujet.

Teddy:

Et toi, je te retourne la question, et toi, Je pense qu'il y a une différence entre l'éducation sexuelle et l'éducation biologique. Je pense qu'en effet, c'est important de pouvoir comprendre ton corps. Ça veut dire parler de règles, etc. Je pense que c'est important de parler de ça. Je pense que c'est important de parler également de, en fait, la main dont je vois, la main que j'aimerais que ce soit donné à l'école, c'est une compréhension complète du corps humain, savoir que ta nutrition influe ce que tu bois, ce que comment tu dors, que ce soit au niveau des hommes et des femmes.

Teddy:

Tu vois Vraiment, au niveau, vraiment, une éducation complète sur le corps humain. Après, maintenant, parler plaisir, etc. Je ne suis pas sûr que ce soit l'école le meilleur endroit. Je ne pense pas que quand tu es professeur, un professeur, il y a une formation, comme toute personne. Je ne suis pas sûr que ce soit la personne la plus compétente de parler ce genre de choses. Après, je suis Moi, c'est vraiment de ma mère de voir les choses. Je ne pense pas que ce soit le meilleur endroit à l'école, mais c'est sûr et certain qu'il faut quand même combattre le fait que, étant donné que maintenant, tout le monde a accès à tout en un clenquement de doigt, c'est sûr et certain qu'il faut en parler Et, comme tu l'as dit, nos changements corporels, on les a eus, on les a reçus et on en a parlé à personne.

Teddy:

Je n'ai pas parlé de ça à ma mère. je n'ai pas parlé de ça à mon père. Je ne sais pas si c'est bien ou si ce n'est pas bien. Je ne sais pas. si vous avez la possibilité ou si vous avez cette relation avec vos parents et que vous avez eu cette possibilité-là, c'est bien pour vous. Moi, personnellement, je n'ai pas eu besoin de ça pour savoir qu'il y a certaines choses que tu ne vas pas forcément faire avec une femme, par exemple, ils apprennent également le consentement aussi de nos jours. Je pense que ça devrait être pourtant inclus dans. Je ne sais pas si c'est à l'école de faire ça. Je pense que c'est aux parents de faire ça. Je ne sais pas.

Teddy:

C'est une réponse assez gris. Je dirais juste que, en être moi, si tu me demandes de nos jours, est-ce que la sexualité doit être appris à l'école, Moi je te dirais que oui, mais pas à 12 ans, Pas à 6 ans comme c'est fait en ce moment. Plus tard, Parce que moi, je me rappelle que la première fois que j'ai eu une éducation sur les rapports sexuels, j'avais 15 ans.

Do:

Tu es au lycée. d'ailleurs, c'est au lycée.

Teddy:

Oui, c'est au lycée, c'est au lycée de 15 ans, C'est au lycée. Et ça nous a amusé un peu. C'était en mode, on rigolait avec les capotes Tu as un peu de bois et il faut que tu le mettes. Enfin, en vrai, tu rigoles un peu, tu es un peu stupide et tout, mais je pense que tu vois, à ce moment-là, je pense que tu es assez.

Do:

Est-ce que tu construis et tu es coupé de tes Js, mais tu es encore à Paris à ce moment-là.

Teddy:

Oui, oui, exactement.

Do:

Parce que nous c'était au collège. Vraiment, nous c'était au collège. Comme je te le dis, vous êtes là vous êtes en cours, vous rigolez, mais nous, c'était au collège Et je trouve que au collège, c'est bien.

Teddy:

Oui, après moi j'étais dans un school privé catholique.

Do:

Donc c'est différent, Tout s'explique.

Teddy:

Tout s'explique. C'est certain que ce n'est pas le même programme.

Do:

Oui, c'est pas le même programme. Après, il ne faut pas mélanger, parce que quand je dis ça, il ne faut pas mélanger l'éducation, quand je dis sexuel, où on va te parler de plaisir, où on va te parler de rapport sexuel spécifique, Parce que c'est ça, c'est vraiment ça, Mais c'est pas c'est poème, mais nous, c'était pas ça notre programme. Quand je te dis éducation sexuelle, moi je te parle juste de reproduction.

Teddy:

Oui, c'est ça, c'est une fois de biologie tout à l'heure de la société.

Do:

Exactement, Mais au collège on a jamais parlé justement des rapports.

Teddy:

On met de la salle. Je vais tout.

Do:

C'est grave, c'est grave. Et après, il faut aussi dire que les mentalités et les époques changent Totalement Et je ne sais pas si c'est une bonne chose, parce que maintenant, j'ai plus 15 ans, j'ai plus 14 ans, je ne pourrais pas savoir ce que ça fait de vivre en fait dans cette époque-là en ayant 13, 12 ans ou 11 ans.

Teddy:

Après, tu peux le voir un peu. Tu vois, comme t'sais, tu parles par exemple d'Arthur ou quoi que ce soit. Tu peux voir que cette génération, t'sais, il est plus jeune que nous. Il n'est pas forcément beaucoup plus jeune que nous, il n'est pas non plus dans la génération Z, mais tu vois qu'avec ces potes, ils ont fait des trucs.

Do:

Ah, quand ils étaient jeunes, qu'on n'a jamais fait. Qu'est-ce que je peux dire?

Teddy:

Donc, c'est ça le truc aussi, c'est que Dédicace à toi Arthur, ouais, dédicace à toi Arthur, donc c'est ça le truc. Donc, je ne sais pas, honnêtement, je ne sais pas, comme tu l'as dit, je ne sais pas, en fait, qu'est-ce qui est bien, qu'est-ce qui est pas bien je te dis juste que moi, de mon point, de vue, je pense honnêtement qu'un enfant confronté.

Teddy:

Moi, comme je t'ai dit, je t'ai parlé de mon expérience avec mon problème d'identité. j'avais 10 ans, Je pense, de mes 8 ans à mes 14 ans, je ne sais même pas, de mes 8 ans à mes 17 ans, j'étais en crise d'identitaire, on va dire, parce que tu ne sais pas si tu es français, tu ne sais pas si tu es camprouné, tu ne sais pas où t'as parti, à quoi t'as parti, tu ne sais pas si tu dois aimer les blancs si tu ne veux pas aimer les blancs tu cherches.

Teddy:

Donc, si donc j'avais cette crise-là, on va dire et en plus de ça, tu me rajoutes une crise d'identitaire sexuelle ou une identité sexuelle, c'est beaucoup, c'est beaucoup, tu peux devenir n'importe quoi, tu vois. Donc, ouais, merci, en tout cas pour ce sujet. Je pense qu'il était, il était très lourd. Il y a beaucoup de choses à dire. Donc, nous, c'était notre angle, bien sûr, que s'il voulait rajouter quoi que ce soit, comme d'habitude, vous vous réagissez Et merci.

Do:

Je peux rajouter quelque chose. Je voudrais vous dire, chers réseaux auditeurs, que la tolérance, la tolérance, c'est très important, et le vertu en espèce aussi, et je pense qu'il faut respecter, c'est important. C'est important de respecter et d'être tolérant Et il faut pas être fermé sur les orientations sexuelles des gens que vous avez autour.

Teddy:

Je veux juste rajouter ce que vous voulez, merci beaucoup, on se retrouve pour la question que tu as.

Do:

On se retrouve pour la question qui tu. Donc, c'est un motot, c'est facile de poser la fameuse question qui tu?

Teddy:

Vas-y, je t'écoute, c'est quoi la question?

Do:

Est-ce que tu es prêt à répondre? Parce que, franchement, celle-là, elle est Franchement celle-là, elle est un peu difficile. Moi, c'est tout vu. Mais toi, je sais que Allez, vas-y, allez, je pose la question, je me lance. Donc, t'es dit demain, t'as ton fils, tu l'as bien éduqué, t'as fait son éducation, t'as tout donné pour lui, tu t'es sacrifié pour lui. Et il arrive un jour où, tu vois, on t'impose ce petit dilemme, on t'a dit bon, écoute. T'as dit il y a deux voix qui s'offrent pour ton fils, c'est soit il devient flic, il est hétéro, soit il devient gay, mais il est gay, mais ça ne sera pas un policier. Qu'est-ce que tu choisis?

Teddy:

T'es un gamin. Juste pour un intro. Il faut savoir que j'ai vraiment une version complète vers les policiers. Mais tu me dis soit il est gay, soit il est flic, c'est ça.

Do:

En gros, c'est ça.

Teddy:

C'est un truc de ouf, je peux pas avoir le choix, comme un litage qui dit je suis un nifflic NPD.

Do:

Non, non, non.

Teddy:

Franchement, je vais t'expliquer quelque chose. Moi, c'est mon raisonnement, honnêtement, des deux choix, je déteste Là tu es choquée que tu me donnes, je suis pas d'accord avec tes choix. Mais bon, je vais quand même expliquer mon raisonnement et je vais donner ma réponse. Un policier ne peut pas être épanoui et ne peut pas être mentalement stable dans sa vie. C'est impossible. C'est le métier le plus déteste au monde. Pourquoi tu rigoles? Pourquoi tu rigoles? Et donc, comme un policier ne peut pas être mentalement stable par rapport à sa fonction, etc. Parce que pour moi ça n'est pas possible, il y a personne qui se lève un matin et qui dit oui, quand tu es petit, tu réalises les flics et tu dis vas-y, je vais devenir policier.

Do:

En vrai quand tu comprends?

Teddy:

Non, pas de problème, c'est différent.

Do:

En général, quand tu es petit, je vais policier ou pompier.

Teddy:

C'est ça, pompier, exactement.

Do:

Donc tu as dit que ton fils devienne flic ou tu as dit qu'il devienne gay.

Teddy:

Je pense que ça n'avait plus facile que ça. en plus, je pense que je suis un reggae.

Do:

Je te remercie, tj, pour ta réponse. J'ai senti que c'était extrêmement dur pour toi, mais franchement, je te remercie d'avoir répondu en toute sincérité.

Teddy:

Comme vous avez pu voir, ce n'est pas un format habituel, c'est un format un peu spécial aujourd'hui pour une personnalisation de la société. C'est un thème que nous a été soumis. Donc, je me remercie à tous les personnes qui participaient à notre séance de question dans la paix de semaine. J'espère que ça va apprécier. Elle a essayé de nous avoir. C'est sûr et certain qu'il y a beaucoup de choses à dire, mais on a essayé de être le plus vaste possible. Merci encore, et on va laisser de nous donner la situation du jour pour clôturer cet épisode.

Do:

Merci encore à tous. Comme TJ l'a dit un peu plus tôt, on vous remercie aussi de participer, de nous envoyer des messages sur le compte The Netter Show. Je vais finir avec la station. La vie, ce n'est pas souhaité être ailleurs ou quelqu'un d'autre, c'est apprécier où vous êtes, aimer qui vous êtes et améliorer constamment ces deux états. C'était une citation de Marc Correll.

Teddy:

Et tant donné que je sais que, même si les C'est trop drôle.

Do:

C'est trop drôle.

Teddy:

Ils restent si pots. SubsWord такого affiliation The Nettershow.

l'Hypersexualisation Dans La Société
La Consommation Pornographique Et l'Addiction
Culture Américaine Et l'Hypersexualisation
l'Hyper-Sexualisation Et l'Éducation Des Enfants
l'Influence Grandissante Du Mouvement LGBT
Éducation Sexuelle Au Collège Et Primaires
La Vie, l'Amour Et l'Amélioration

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