The Neter Show

Luxe et Discrétion

Donald & Teddy Season 2 Episode 2

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Réservations impossibles, voyages sur-mesure, expériences hors du commun… Bienvenue dans l’univers feutré de la conciergerie de luxe. Derrière chaque demande exceptionnelle se cache un savoir-faire unique, une discrétion absolue, et une capacité à répondre à l’imprévisible.

Dans cet épisode, on vous emmène dans les coulisses d’un métier aussi exigeant que fascinant. Comment devient-on concierge de luxe ? À quoi ressemble le quotidien de celles et ceux qui répondent aux moindres désirs d’une clientèle ultra-privilégiée ? Quelles sont les qualités humaines et les compétences nécessaires pour évoluer dans ce milieu d’excellence ?

Un voyage entre raffinement, réactivité et confidences… là où tout (ou presque) devient possible.


Merci @lifestyleandprivacy pour ta participation!

Credit
@stormbeatzz - All I do
@ShittyWizardbeats - Prayer Hands
@808GUAC - Gemini
@Winnie, for the logo
@lm10_draw for the picture

Produced by @dotaharqa @Mr.Griizzly

Donald:

Une minute. Excuse-moi, je ne te coupe pas. Tu donnes vraiment beaucoup trop de bonnes infos.

Albin:

On est là pour parler français. Moi, la niche de client que je vais avoir, ça va être les footballeurs. tu vois, Tu vas voir et entendre des choses qui, des fois, bah.

Teddy:

Yes, yes, yes, welcome, welcome. Bonjour à tous et à toutes. Bienvenue pour un nouvel épisode de la Tunis Terre Chaud. Aujourd'hui, on n'est pas tout seul. Aujourd'hui, on n'est pas tout seul Déjà, comme d'habitude, mon alcoolique, do comment tu vas.

Donald:

Je vais bien, teddy, et toi ça va, ça va toujours, nickel on est là posé tranquillement. Ça fait plaisir de t'entendre, frérot. Ouais, c'est le plaisir.

Teddy:

Donc, comme je disais, on n'est pas tout seul. On n'est pas tout seul aujourd'hui. On a un invité qui nous fait l'honneur d'être là, M Albin Abin, qui est aussi connu pour sa Golden Touch. Je vais le laisser se présenter et après, on va tout de suite naviguer, dis-nous ça marche.

Albin:

Bah, écoutez, merci à vous de m'accueillir dans votre podcast. Moi, c'est une grande première, donc, hâte de voir comment ça va se dérouler. Et bah, voilà pour moi. Je m'appelle Albin, j'ai 35 ans, français d'origine togolaise. J'ai créé ma conciergerie de luxe en 2019, avant ça, moi, j'ai commencé, j'ai fait en comme études, conciergerie de luxe en 2019. Avant ça, moi, j'ai commencé en comme études. J'ai fait un bac pro-contat, ensuite j'ai fait un BTS assistant de gestion. Et ce qui m'a conduit à me lancer dans la conciergerie de luxe, c'est qu'en fait, j'avais une passion et un truc un peu d'utilité que je faisais tout le temps. C'est-à-dire que moi, ma première passion j'ai le foot, mais j'ai aussi la mode Et ensuite la deuxième, c'est que moi, que ce soit dans tous les groupes d'amis que j'ai, à chaque fois qu'il y a quelque chose qui se passe, c'est moi qui organise, en fait, que ce soit pour récolter l'argent, pour faire les tout le temps, moi qui gère tout ça. Donc, je me suis demandé comment je peux essayer de monétiser ce truc-là Et j'ai fait mes petites recherches. Et puis, je me suis rendu compte qu'il y avait un secteur d'activité qui arrivait en France, qui était déjà beaucoup présent aux Etats-Unis, mais qui commençait à arriver en France et qui commençait à se démocratiser, c'était la conciergerie de luxe.

Albin:

Donc voilà, j'ai fait mes petites recherches Et, à la suite de ça, j'ai demandé à faire une formation. Tout simplement, j'ai eu la chance de pouvoir faire un an de formation dans une école qui s'appelle l'ICI, car C'est une des meilleures écoles de conciergerie en France, et j'ai fait six mois de cours dans cette école Et ensuite, j'ai eu la chance de pouvoir faire un stage de six mois dans une conciergerie privée qui s'appelle John Paul. Pour ceux qui ne connaissent pas, john Paul, en fait, c'est la plus grosse conciergerie. Ils ont été rachetés par le groupe Accor il y a cinq, six ans de ça Et ils font vraiment pas mal de choses, Et le cœur de leur business, en fait, c'est qu'eux, ils travaillent en marque blanche avec les clients des banques qui ont des cartes Visa Gold et Visa Infinite et Visa Platinum, en fait.

Donald:

Albon. Attends, excuse-moi, ne te coules pas, albon, là tu donnes vraiment beaucoup de bonnes infos.

Teddy:

Tu donnes de bonnes infos là.

Donald:

Là, tu vas balancer, par exemple, john Paul, ils sont Là. tu vas balancer, par exemple, jean-paul, ils ont aussi des boutiques d'optique. Jean-Paul, non, non, non, non.

Albin:

Ah là, je vais trop vite, Excusez-moi, excusez-moi.

Donald:

Non, mais c'est bon. C'est bon parce que tu donnes des bonnes infos et je te coupe parce que j'aimerais bien comprendre un peu mieux ce que tu fais et tout ce que tu fais, bien sûr, bien sûr, et tout ce que tu es en train de nous expliquer, et c'est pareil pour nos auditeurs. Il faut qu'ils prennent le temps aussi de comprendre.

Albin:

OK, ça marche.

Donald:

On va te poser des petites questions et on espère avoir une réponse On est là pour parler français.

Albin:

Oui, exactement Non, mais c'est bien.

Teddy:

De toute façon, c'est exactement ça. Tu as. Tu as dit pas mal de trucs là. On va essayer d'aller un peu plus en détail. Donc, tu m'as dit ça fait 6 ans maintenant, tu vois, sur ta 6ème année, que tu as lancé ce business. Sur ces 6 dernières années, comment tu dirais tu es dans quelle phase de ton business? est-ce que tu es encore dans la phase de création, donc de lancement, ou tu es vraiment dans la phase maintenant de sécurisation, où tu veux vraiment dire ok, voilà, ça, c'est ma place, il faut que je la tienne avant de pouvoir aller un peu plus haut.

Albin:

Non, là, clairement en phase de croissance. tu vois, je suis en phase de croissance encore. Chaque année, c'est de mieux en mieux, que ce soit au niveau du portefeuille client, même au niveau du chiffre d'affaires. Là, je suis vraiment en phase de croissance et je vais continuer de me battre pour que ça grossisse encore.

Teddy:

J'imagine que c'est le but Carrément.

Donald:

J'ai une petite question pour toi. Oui, Moi je ne connaissais vraiment pas ce métier-là de concierge jury de luxe. Quelles sont tes principales missions, Alors, en fait?

Albin:

pour grossir le trait un peu, pour expliquer à quelqu'un qui ne connaissait pas le truc, je vais être, entre guillemets, l'assistant personnel d'un client, même si moi je n'aime pas le terme parce que je le trouve un peu réducteur. Mais moi, la niche de client que je vais avoir, ça va être les footballeurs, tu vois, et en fait, tout ce qu'eux ne veulent pas, ne peuvent pas ou n'ont pas le temps de faire, ils vont m'appeler pour que moi je le fasse pour eux.

Donald:

Ah d'accord.

Albin:

Voilà, donc, ça peut aller de j'arrive sur Paris, trouve-moi un van qui me récupère à l'aéroport. Ensuite, prends-moi l'hôtel. J'ai envie d'aller au restaurant, j'ai envie de faire une séance photo. Il y a la dernière collection chez Louis Vuitton qui est sortie. Je veux la chaussure avec la veste. Tout ce qu'eux n'ont pas le temps de faire, ne veulent pas en fait, t'organises vraiment leur activité exactement Vas-y, vas-y.

Donald:

En fait, tu organises vraiment leur activité Exactement, d'accord.

Albin:

Exactement, oui, ok, et moi, vraiment, c'est vraiment un des aspects que j'affectionne dans cette industrie-là, c'est qu'en fait, tu n'as aucune journée qui se ressemble. Tu n'as aucune journée qui se ressemble. Tu as des demandes qui sont vraiment très, très variées. Bonut-être que je vais pouvoir vous donner des anecdotes un petit peu plus tard dans le podcast On espère.

Donald:

On espère.

Albin:

Mais vraiment quand tu es dedans, c'est très rare que deux journées se ressemblent.

Teddy:

OK, et de l'anglais, tu l'as dit justement, toi, ta clientèle de niche, c'est les footballeurs.

Teddy:

C'est ça exactement.

Teddy:

Comment tu t'es dirigé à l'Herdat, Parce qu'après tu ne l'as pas forcément dit, mais tu as travaillé longtemps chez.

Albin:

Diesel, etc. Oui, c'est vrai, on allait te voir et tout gardier, etc.

Teddy:

Il y a près un temps, tout ça, Comment tu as fait, justement pour, admettons, choisir cette, qu'est-ce que tu trouves de difficile dans cette clientèle-là versus dans? Tu parlais de John Paul, justement au niveau des banquiers ou au niveau de la carte. Tu vois, j'ai une carte infinie, par exemple, et oui, en effet, on a accès à cette conciergerie ici au Canada. Mais qu'est-ce que tu trouves?

Albin:

de difficile, justement, avec eux, déjà qu'est que c'est un mélange de plein de choses, c'est déjà les contacts et ensuite, tu sais, nous, de par les milieux sociaux duquel on vient, forcément, tu vois, tu vas un petit peu plus te diriger vers eux, parce que c'est des mecs que Ils sont trop de forme, ils vont te ressembler.

Albin:

Tu vas peut-être un petit peu plus avoir accès à eux qu'un milliardaire ou qu'un millionnaire qui est domicilé dans le 16e. Tu vois, et comme tu as dit, c'est qu'on se ressemble, et moi, en tout cas, tous ceux avec qui je travaille, je ne vais pas dire que je m'identifie à eux, mais il y a, vous avez les mêmes valeurs, exactement, tu vois, il y a une connexion naturelle qui se fait, qui se crée, et, en fait, c'est un échange de bons procédés. En fait, ok, c'est un échange de bons procédés. C'était quoi? la deuxième partie de la question? La?

Teddy:

deuxième question qu'est-ce que tuatique que tu peux retrouver avec eux?

Albin:

J'ai envie de te dire que les problématiques, tu vas en retrouver avec tous les clients. Ce n'est pas spécialement que le footballeur ou que le trader Chacun a sa perception des choses. Il y en a qui vont être très exigeants parce qu'ils vont payer un service, donc ils veulent que le truc soit fait au carré machin, et c'est normal, c'est légitime. Et il y en a qui vont être un petit peu plus entre guillemets cool, qui vont un petit peu plus avoir un côté où on laisse faire, etc. Donc, il n'y a pas C'est difficile de dresser un portrait type de client, tu vois.

Teddy:

Ouais, ok, C'est très difficile tu vois.

Donald:

D'accord, ça m'emmène à la question suivante Albin Ouais, quelles qualités personnelles sont essentielles pour toi pour réussir dans ce métier-là?

Albin:

Ah, ouais, bah là, déjà la patience. Tu vois, La patience, franchement, non, non, non. Mais vraiment, si t'est pas fait pour toi, il faut faire preuve de beaucoup d'empathie, parce que les choses qui sont peut-être futiles pour toi ne le sont pas pour le client qui est en face de toi. Et il faut être rigoureux. Franchement, c'est les trois, vraiment, en qualité, qui sont essentielles. Et il y en a une dernière il faut être discret. Il faut être discret parce que quand tu arrives à un certain niveau de revenu pour certains clients, tu vas être avec eux, tu vas voir et entendre des choses qui, des fois, que tu ne dois pas entendre, Ces gens-là s'ils les disent devant toi, c'est qu'ils te font confiance.

Albin:

Donc il faut rester discret, parce que t'as entendu à gauche, faut pas que ça ressorte à droite.

Teddy:

Tu vois, ouais non, c'est vrai, c'est vrai que la discrétion, et tu l'as dit, de toute façon tu le dis dans notre groupe de anniversaire.

Albin:

Mais ce que tu dis, c'est que ce n'est pas avec vous, c'est avec vous, c'est une qualité extraordinaire.

Donald:

parce que, justement, dans la première saison d'une éterchure, on discutait avec Teddy et moi, par exemple, je suis très nul en organisation, je suis. Alors là, moi, on parlait de vacances, justement quand on organisait des vacances, etc. Alors là, on parlait de vacances, justement quand on organisait des vacances, etc. Et il disait que moi, je suis le type, c'est juste, tenez-moi la date et le prix.

Teddy:

Le reste, mais il y a des gens qui sont comme ça, bien sûr.

Donald:

C'est une qualité extraordinaire, ça D'avoir des gens qui réussissent justement à pouvoir organiser, fédérer tout un projet, que ce soit vacances ou même dans le milieu professionnel. C'est De fou de fou.

Teddy:

Non, mais justement, ce que t'as dit aussi qui était bien, c'est que t'as dit tu t'es rendu compte que toi, tu le faisais naturellement, et après t'as dit ok, comment je peux faire pour maximiser justement mes dons naturels, en fait? Mais justement, toi encore, tu l'as dit, t'es noir. Tu vois, en tant que noir, parce que le monde du luxe en France, c'est pas un monde qui est spécifiquement diversifié, on va dire je pense pas que tu croises des mecs comme toi tous les jours. Donc, comment ça a été quoi? les challenges? justement pour rentrer dans ce cercle.

Albin:

Ben, franchement, pour être transparent, tu sais, moi j'ai été victime de discrimination, mais je ne m'en suis pas rendu compte. Moi, les obstacles auxquels j'ai fait face, c'est quand je suis arrivé dans cette industrie-là, c'est que je n'ai pas d'expérience Et je n'avais pas les mêmes contacts que maintenant. Et moi, c'est vraiment ça les plus gros obstacles que j'ai dû franchir, c'est-à-dire s'intéresser aux gens du secteur d'activité dans lequel je suis, vers qui je peux essayer de me retourner. Est-ce qu'on peut essayer de m'aider? Parce que quand j'ai terminé mon stage, j'étais un peu lâché dans la nature. J'étais un peu lâché dans la nature. Tu vois, j'étais un peu lâché dans la nature.

Albin:

Comment tu fais pour créer une société? Parce qu'en France, on est les champions des process, des papiers qui servent à rien du tout, alors que ce truc-là, il pouvait. Moi, quand je fais le bilan des différentes étapes de création de ma société en fait, je me rends compte qu'il'est encore un autre débat, mais pour revenir à la question, moi, j'ai pas eu l'impression d'être discriminé par rapport à ma couleur du pot ou à ma condition d'homme noir. Tu vois, les vrais handicaps auxquels j'ai dû faire face, c'est vraiment le manque de contact et le manque d'expérience quand t'arrives dans cette industrie-là, parce que j'avais beau avoir fait six mois de stage, il faut bien commencer quelque part. Qui je contacte comme premier client, quel fournisseur, quel prestataire, c'est tout ça. Et après, au final, moi je suis quelqu'un, je suis partisan du fait, trompe-toi et tu vas progresser. Exactement, moi je suis partisan de ça. Et ce sentiment-là là, il est vraiment encore plus renforcé après les années que j'ai derrière moi, totalement merci, moi ça m'amène justement vers justement.

Teddy:

Tu me parlais de justement. Tu t'es trompé, t'as eu des échecs. Est-ce que tu peux nous faire part un peu de c'était quoi, c'est à quel niveau les échecs? est-ce que ça a été au niveau financier? est-ce que tu peux nous faire part un peu de c'était quoi, c'est, à quel niveau Les échecs? est-ce que ça a été au niveau financier? Est-ce que ça a été au niveau clientèle, relationnel? Justement, tu te disais… Tout.

Albin:

Ah, tout, tout, tout, tout, tout, tout. Non, mais bien sûr, tu vois. Que ça soit au niveau de la gestion de la trésorerie, prestations en elles-mêmes, avec la comptable. Moi, pendant un moment, je pensais que les histoires de comptable, c'était que pour Quand tu as un comptable. je pensais que c'était que pour les sociétés qui faisaient beaucoup de chiffre d'affaires.

Albin:

Même si tu fais un euro de chiffre d'affaires, ils te font un comptable Et ça, c'est un truc que je reproche beaucoup au système éducatif français, c'est qu'on t'apprend qu'il faut aller tout droit, C'est-à-dire tu vas à l'école, tu as un diplôme et tu vas travailler. Tu fais tes CV, tu fais de l'automotivation et tu vas travailler, Alors qu'en fait, non, tu peux faire plein d'autres choses. Tu vois, Moi, je me suis rendu compte qu'au final, ma voie, ce n'était pas spécialement être salarié. Mais il y a des gens qui veulent faire, je ne sais pas, du bénévolat, Il y en a qui veulent être je ne sais pas. Tu peux devenir fleuriste, tu peux devenir plein de choses, Et, en fait, en France, on ne nous ouvre pas l'esprit à ces choses-là. en fait, À l'aide de motivation, tu trouves un taf et tu taffes jusqu'à la retraite. En fait.

Donald:

En fait, t'aurais aimé avoir, justement une éducation je parle bien scolaire où on t'apprend comment gérer une entreprise, comment ouvrir sa boîte, boîte les conseils, ce qu'il faut faire, ce qu'il ne faut pas faire, et ça t'aurait évité de perdre énormément de temps.

Albin:

Même je ne sais pas à quel niveau scolaire ça peut être fait, tu vois, mais je ne sais pas que ce soit au collège ou au lycée, parce que vous vous êtes en train de faire avec moi. Là, on prend, je ne sais pas, un ancien élève qui a, je ne veux pas dire bien réussi, mais voilà qui a sa société, ça marche bien pour lui. Il vient, il parle aux élèves.

Teddy:

Juste ça, déjà, tu vois, ils ne le font pas, tu vois ouais, c'est vrai, la sensibilisation, c'est vrai, c'est quelque chose qui est après. Tu vois, par exemple, justement, moi, c'est quelque chose que je vois du côté américain, enfin, nord-américain, mais eux, c'est à l'extrême, c'est à l'extrême, c'est-à-dire qu'en France, en fait, les deux côtés c'est à l'extrême. En France, c'est vraiment, c'est culture.

Teddy:

On va t'enseigner à l'école, et encore, on voit que ça a changé. Mais on t'enseigne à l'école, vraiment, il faut qu'on t'instruise. Donc, on t'apprendre comment tu gères ton argent, on va t'apprendre un métier, par exemple, on va vraiment t'apprendre un métier, ce qui est bien, c'est pratique. Mais la problématique de cela également, c'est qu'au final, tu ne sais rien d'autre à part ton métier. Et c'est pour ça que qui fais du bénévolat dans les écoles, au niveau de la sensibilisation financière, c'est vrai qu'ici il y a des trucs qui sont faits je sais pas, en France peut-être que ça a changé maintenant et j'espère que ça a changé mais c'est des trucs qui sont faits, qui nous permettent de justement, dire à un un changement entre avant, le Covid, où des enfants, ils étaient intéressés, mais sans plus, et maintenant, où maintenant, tout le monde veut devenir créateur de contenu, et donc créateur de contenu, qui veut dire que t'es auto-entrepreneur.

Teddy:

Et qui veut dire que Exactement, vraiment, maintenant tu vois un enfant qui a 15-16 ans carrément même mon neveu.

Teddy:

Il m'a dit taf mais c'est un taf où tu dois, comme t'as dit, tes impôts, tes taxes, comment tu déclares, etc. C'est vrai qu'il y a quand même, il y a quand même ce changement. En fait, à ce niveau là, tu vois, et justement pour parler de changement, moi, est-ce que toi, justement, de ce côté, racisé, noir, etc. Est-ce qu'il y a quelque chose qui te dit Moi, je veux mettre en avant, ou je veux essayer de travailler avec des collaborateurs qui me ressemblent, ou bien tu dis Non, moi je cherche la compétence.

Teddy:

Non moi franchement, je cherche la compétence.

Albin:

Moi franchement, c'est la compétence. Moi, franchement, c'est la compétence avant tout, parce que moi, ça me sert à rien de bosser avec un renouvelé qui est nul. En fait, c'est vrai c'est vrai? non, mais tu vois, moi j'ai, et franchement, pareil avec les années d'expérience que j'ai maintenant, et tout en fait, années d'expérience que j'ai maintenant, et tout En fait, moi, je ne cherche plus à faire plaisir à personne, tu vois.

Teddy:

Ok, tu as raison, Ah tu l'as fait, mais bien sûr je l'ai fait.

Albin:

C'était au début? Ouais, au début, tu vois, je l'ai fait Et tu vois, franchement, ce n'est pas quelque chose… Non, non, c'est profitable pour personne tu vois, Est-ce que t'as une anecdote ou un exemple par rapport à ça?

Teddy:

Est-ce que quelque chose où t'as voulu faire plaisir à quelqu'un, au final ça s'est retourné contre toi?

Albin:

Bien sûr, tu vois, c'était. Je ne vais pas dire ce nom, c'est un pinceau.

Albin:

Non sans rentrer dans les détails, bien sûr, sans rentrer dans les détails. on était dans une bonne relation de confiance et tout bon. de temps en temps, t'avances les sous pour les trucs et au final, après, bon lui, il te rembourse. tu vois, on est dans cette relation-là et ça se passe bien, tu vois, et du jour au lendemain, le gars, il veut pas payer, tu vois, sous prétexte que ça lui convient pas, ou quoi Bon. à partir de ce moment-là, je me suis dit j'ai voulu te faire plaisir, maintenant, ça va être, tu payes, je te fais ton truc et basta. tu vois, mais dans ce truc-là moi.

Albin:

j'étais dans le truc où je me dis ah, ça me déprime mes clients, si je ne lui fais pas entre guillemets plaisir, il ne voudra plus bosser avec moi. je vais perdre un client carré. c'est que je dois pas bosser avec lui, en fait, exactement ouais.

Albin:

Donc, ouais, c'est ce genre de petite anecdote-là qui m'ont fait dire non, en fait, faire plaisir aux gens. Là, on est dans le monde des affaires, on n'est pas au restaurant en train de se parler pour kiffer. Chacun essaie de faire du business pour que chacun puisse avancer. Tu vois, Donc, vouloir faire plaisir aux gens, non, c'est fini ça.

Teddy:

Ok, ok, c'est fini. Mais justement par rapport à ça, est-ce que tu t'es fermé des portes où on t'a dit ouais, ben voilà, t'as fait ci à telle personne, ou voilà, non.

Albin:

Je pense que je me suis fermé des portes. Tu vois, parce que ce milieu-là, c'est très petit, c'est beaucoup de la cooptation. Tu vas bien t'occuper d'un client, lui va te recommander à son coéquipier, et c'est comme ça que tu fais Exactement. Moi, je sais qu'après cet épisode-là, j'étais un peu dur, c'est-à-dire que tu payes maintenant, ou je ne le fais pas, alors qu'en vrai alors qu'en vrai, de vrai, lui, il est peut-être et sûrement différent de celui avec qui tu as eu le litige.

Albin:

Écoute un petit peu au moins ce qu'il a à dire. vois comment t'évolues avec lui. Si tu vois que c'est pas carré, c'est pas grave. On se tape la main, on se sépare. Et je pense que, dans les semaines et mois qui ont suivi cet épisode-là là, je pense que je me suis fermé des portes, tu vois. Mais c'est comme tu dis, je suis allé, j'ai fait, j'ai vu, tu vois, je me suis réadapté et, au final, maintenant, j'ai trouvé une solution, moi, qui me convient parfaitement, tu vois.

Teddy:

Ouais, totalement, c'est important.

Donald:

Ce que tu dis, c'est une relation de confiance, d'abord avec les clients, et puis, si tu as un client qui est un mauvais payeur, automatiquement, tu vas dire Bon, maintenant je vais être comme ça, comme ça, comme ça. Des fois, ce n'est pas forcément la solution, mais chaque client est différent Exactement. Et puis tu apprends aussi toi aussi, tu apprends ton métier en ayant ce genre d' de crise-là, et c'est une des choses aussi que je n'avais pas anticipé quand je me suis lancé, c'est que tu sais quand moi j'ai fait ma formation et mon stage, j'ai appris les compétences qu'il fallait à l'instant T tu vois, Et franchement, je le vois, la conciergerie, en fait, c'est en perpétuelle év T.

Albin:

Tu vois, et franchement, je le vois, la conciergerie, en fait, c'est en perpétuelle évolution. Tu vois, maintenant tu as les crypto-monnaies, tu as les liens de paiement. Tu vois, et en fait, tout ce que j'avais appris, c'était je ne vais pas dire que c'était de l'ancien temps, tu vois, mais c milieu, il change, il évolue constamment et il faut rester informé. Tu vois, et c'est ce qui m'a permis de pouvoir m'adapter aux différents types de clients que j'ai eus après cet épisode-là, tu vois, D'accord, j'ai une petite question à te poser, alvar.

Donald:

Est-ce que tu pourrais me décrire une journée type dans ton travail, par exemple, ce que tu fais du matin au soir, ce que tu peux être amené à faire?

Albin:

Carrément. Alors après je vais te raconter une journée type. mais il y a une journée type d'une période où vraiment ton téléphone il sonne beaucoup et une journée type d'une période où ça va être un peu.

Albin:

Voilà, exactement. Tu vois, Parce que c'est vrai que sur l'année, ça s'équilibre. Tu vois, Donc, on va dire, Moi, les périodes où vraiment il va y avoir beaucoup de boulot, ça va être quand il va y avoir les Fashion Week à Paris et quand il y a les trêves internationales de foot. Tu vois, Parce que moi, la plupart des clients, avec les des footballeurs avec qui je travaille, tu vois, ils ne sont pas tous internationaux. Donc, quand tu n'es pas international et que tu ne vas pas jouer pour ton pays, tu as souvent genre 4, 5, 6 jours de jour off, Et c'est là qu'il y en a qui fleurent. Mais tu vois, c'est normal.

Albin:

Tu vois, Et vas-y, je vais me lever le matin. Bah, eux, déjà, la plupart du temps, ils t'envoient des messages. La nuit, C'est le matin. Au matin, quand tu te réveilles et que tu vois ton téléphone, Je vais checker un petit peu, voir ce qu'il y a à faire. La plupart du temps, ça va être quoi? Ça va être des demandes de Viano, des demandes de restaurants, trouver les hébergements, Tout ça, c'est la plupart du temps tout ce qui va être restaurant et prestataire automobile. J'ai déjà des prestataires avec qui je travaille.

Teddy:

Là, ça va vite.

Albin:

Eux, ils ont déjà les infos Exactement. Et puis même, il y a même des trucs. La plupart du temps, c'est des choses qui se font en dernière minute. Donc, tu vas passer tes coups de fil, tu vas faire tes mails, tu vas t'assurer que tout est bien calé. Ensuite, tu vas t'assurer que tout est bien calé. Ensuite, tu vas faire les factures. Il y a de la compta, parce que t'es pareil aussi. Une des choses que j'ai appris avec le recul, quand j'ai commencé à avoir le comptable, c'est que si tu traites pas les papiers, au bout d'un moment, ça s'accumule et après, quand t'es arrivé à la fin de l'année qu'elle doit faire le bilan, tu retrouves plus les tickets, t'as plus les trucs ça j'ai pris l'habitude de le faire aussi un peu tous les jours, parce que t'arrives vite à un stade où tu vas faire genre des 3-4 factures par jour.

Teddy:

C'est beaucoup c'est du travail qui s'accumule exactement.

Albin:

moi, à titre personnel, j'ai un enfant. moi, je m'arrange toujours pour qu'arriver 16h 16h30, quand je vais chercher la petite à la crèche, il faut que j'aie tout fini. Ça m'arrive des fois de déborder un peu et c'est un peu relou parce qu'il faut s'adapter aussi au rythme des clients, mais la plupart du temps, 16h 16h30, c'est terminé, en sachant que je me suis levé peut-être à 7h, 7h30. D'accord, et une journée où ça va être un peu plus calme, ça va être la même chose, ça va être de la compta. J'essaie de démarcher des clients, que ce soit sur Instagram ou par mail. Moi, je fais beaucoup de veille pour trouver des endroits originaux à proposer à mes clients. Moi, par exemple, j'ai un fichier en concierge d'origine, ça s'appelle un cardex. Je te jure, je dois avoir plus de 10 000 adresses dedans, que ça soit des restaurants, des activités à faire, que ça soit en France, à l'étranger, les prestataires pour les véhicules, vraiment tout, tout, tout, tout, toujours.

Donald:

faire de la veille sur les prestataires, les factures, et déjà tout ça, ça prend pas mal de temps ça prend du temps, mais justement, comme tu dis que ça fait un moment que tu es dans ce métier, là, est-ce que tu peux? tu as vu une différence, par exemple, au niveau des attentes clients à tes débuts jusqu'à aujourd'hui. Est-ce qu'il y a une évolution dans leurs demandes par rapport à il y a quelques années?

Albin:

franchement, je vais te dire la vérité, c'est que l'évolution, elle va avoir un Comment dirais-je? Elle est en relation avec l'évolution de la poche du client, en fait. Ah, d'accord, c'est ça, tu vois, parce que tu vas faire les choses à la hauteur de ta poche. Tu vois.

Albin:

Moi par exemple, j'ai des clients avec qui je travaille toujours pareil. Quand j'ai commencé à travailler avec eux, ils avaient entre guillemets des petits contrats, donc forcément, tu dépenses à la hauteur de ta poche. Maintenant, c'est des mecs qui ont des gros contrats, donc forcément, tu ne vas plus dans les mêmes restaurants, tu n'achètes plus les mêmes marques. quand tu dépenses, tu dépenses plus les mêmes choses. c'est la hauteur de la poche du client qui va faire que ça va évoluer ou pas donc c'est vraiment.

Teddy:

L'adage est réel quand on dit que tu crées tes propres besoins clairement, mais clairement, c'est exactement ça ok, mais est-ce que, justement par rapport à ce que tu vois ou ce que tu vis, est-ce que, justement par rapport à ce que tu vois ou ce que tu vis, est-ce qu'il y a quand même des clients qui restent plus ou moins dans le même style de vie, ou ça change toujours? Il y a toujours cette évolution de j'ai un meilleur contrat, donc je veux m'acheter des meilleures choses, je veux manger des meilleurs trucs, je veux faire des meilleures activités. Il y a toujours ce truc-là.

Albin:

Il y a toujours ce truc-là Après l'évolution, elle est rationnelle ou pas. Parce qu'il y en a voilà, qui oublient, enfin, pas dire qui oublient pas d'où ils viennent, mais qui restent mesurés. Et il y en a, ouais, qui en voient.

Albin:

Ils en voient, Il y en a ils maintenant ils en voient tu vois, donc, c'est, c'est la hauteur de la, mais franchement, tu sais quoi, pour quand même partager leur quotidien, et tout, moi, je sais, moi, je sais pas si, franchement, avec, avec toute l'humilité que j'ai, tu vois, je sais pas si j'arriverai à garder les pieds sur terre avec l'argent qu'ils ont.

Albin:

Tu vois, parce et Moi, petite anecdote, tu vois, moi j'ai la chance de J'ai un ami qui a un cousin qui vit à Londres, et ce cousin-là, en fait, lui, il est argent de foot à Londres. tu vois, et en fait, maintenant, comme je suis vraiment en bon contact avec eux, et tout à chaque fois qu'ils ont des joueurs de foot qui viennent d'Angleterre, qui viennent sur Paris, ils me les envoient Et, en fait, je le vois, c'est énormément d'argent.

Albin:

Ils ont beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent. Même des mecs qui jouent peut-être en deuxième, troisième division. Ils ont beaucoup d'argent et ils dépensent à la hauteur de leur poche. Mais la poche, c'est des grosses poches.

Teddy:

C'est des grosses poches.

Albin:

Tu vois donc, c'est ouais, non, il y a forcément une évolution, mais ça va être. Ça va être en relation avec la personnalité de la personne. Est-ce que c'est un gars qui fait du show-off, est-ce que c'est quelqu'un qui est discret? il y a plein de facteurs, après, qui vont rentrer en ligne de compte, mais l'évolution, forcément, là, tu vois D'accord, d'accord, mais justement. J'en connais aucun qui dépense la même chose quand il avait son petit contrat et qui dépense la même chose quand maintenant il a son gros contrat.

Donald:

tu vois, c'est normal, c'est normal. Mais justement, ça m'emmène à vouloir te poser des questions un peu plus personnelles ou anecdotiques. Pour toi, est ton souvenir le plus marquant, un souvenir qui t'a vraiment marqué pendant toutes ces années avec l'un de tes clients? Sans rentrer forcément dans les détails, Oui, bien sûr. Un souvenir vraiment qui t'a marqué genre waouh, là c'est.

Albin:

Ouais, t'as vu, un jour, j'en ai un qui devait aller en vacances. C'était la fin de la saison, tu vois, et lui, je pense qu'il avait vécu quand même une saison un peu difficile, tu vois, et en fait, il allait à Marbella. Tu vois, et en fait, il m'a appelé, il m'a dit genre je vais à Marbella, genre je veux 20 000 euros de vêtements.

Donald:

Tu vois, ah, ouais, quand même 20 000 euros de vêtements.

Albin:

Ouais, ouais, ouais, c'est vrai. Je te dis c'est en fonction de ta poche, en fait. Et moi, je ne vais pas dire que j'ai Ceux avec qui je bosse, ils ont quand même des beaux contrats. Mais en fait, moi, en étant dans cette industrie-là, je me demande comment Mbappé, par exemple, il fait quoi de son? argent. En fait, rashford, il fait quoi de son argent? des millions qui touchent des 300 000 pounds par semaine. Tu fais quoi de tout ça, en fait?

Teddy:

tu vois on t'a déjà demandé quelque chose et t'as dit non, je fais pas ça, ouais, ouais les drogues et tout.

Teddy:

Ah ouais t'es dans ça carrément en français.

Teddy:

Moi j'ai demandé ah, ouais, mais dans le milieu, y'en a qui le font, si on te le demande.

Albin:

Parce qu'il y en a qui le font, oui, je vois, après, je pense que ça devait pas être pour eux, parce que eux, ils ont quand même des. Il y a des trucs te le demandent, parce qu'il y en a qui le font. Oui, tu vois, après, bon, je pense que ça ne devait pas être pour eux, tu vois, parce qu'eux, ils ont quand même des.

Teddy:

Il y a des trucs de test anti-dopage, machin et tout.

Teddy:

tu vois, mais bon tu demandes quand même quoi tu vois, ouais, ouais.

Donald:

Et qu'est-ce qui t'attire moins justement dans que vraiment tu?

Albin:

dis à ça j'aime, j'aime vraiment pas, c'est pas, c'est un truc que je kiffe air, ou franchement, tu sais, je lâche comme ça. J'ai pas de choses ou genre que j'aime pas. Tu vois, parce que c'est vraiment fait, moi, je me suis vraiment dans ce truc là, par passion, tu vois, c'est, et je me rends compte que, avec le temps, que heureusement que j'ai cette passion làlà, parce que si je n'avais pas cette passion-là, je pense qu'il y a longtemps que j'aurais arrêté, il y a très longtemps que j'aurais arrêté, moi, depuis que je suis dedans, quand je dis dedans, je parle du milieu entrepreneurial, moi, je schématise le truc comme ça. Je dis l'entreprenariat, en fait, t'as 80% d'emmerdes et 20% de kiff. Tu vois, c'est juste que pour moi, les 20% de kiff, là, ils ont beaucoup plus de valeur que les 80% Compact que les 80% d'emmerdes.

Albin:

Ouais, tu vois, exactement. Tu vois, il y a des moments où je peux prendre un peu plus de soin de moi. Moi, je suis beaucoup au sport, j'arrive à prendre soin de moi. Si j'avais un taf normal, je ne pense pas que je pourrais avoir ce cadre de vie-là. Tu vois, c'est vrai Dire qu'il y a un truc que je n'aime pas. Franchement, je kiffe ce que je fais.

Donald:

D'accord, d'accord, merci.

Teddy:

Merci. J'ai encore deux petites questions. Après, on va passer au prochain thème. Yes, Si, admettons, tu devrais te parler de le toit d'Yassipis, le toit de je commence à réfléchir, j'en ai marre d'être salarié etc. Qu'est-ce que tu te dirais?

Albin:

Franchement, déjà le mois d'IACP, il avait peur d'entreprendre. Je pense que si j'avais parlé à mon mois de maintenant, je suis sûr que j'aurais dit mais ne le fais pas. Qu'est-ce que tu?

Teddy:

fais, tu ne sais pas de quoi demain est fait, parce que je sais pas si tu te rappelles, je sais pas si tu te rappelles, on a eu cette, on avait cette conversation avec les autres gars et tout, et on parlait justement d'entrepreneuriat. et je me rappelle très bien qu'on parlait de ouais, qui est qui, qui peut faire quoi. moi, j'ai toujours dit que bon, même si c'est un peu de l'entrepreneuriat prise, mais par contre, tu me la donnes, tu me donnes à gérer, je suis quelqu'un, c'est ma force. Et je me rappelle qu'on parlait de ça, et toi, tu disais un an, moi, l'entrepreneuriat, je ne suis pas trop là-dedans.

Teddy:

Et un an après, tu me dis ouais, les gars, j'ai l'air, Je te jure.

Albin:

Je te jure, non, compare à certaines personnes. c'est juste que, comme je t'ai dit, moi je kiffe ce que je fais, tu vois, et j'ai compris qu'en fait, il faut s'adapter tous les jours, tu vois, à de nouvelles situations, tu vois.

Teddy:

Mais est-ce que tu penses pas que c'est ça justement la fibre entrepreneuriale, le fait de déjà premièrement kiffer ce que tu fais et de pouvoir s'adapter Quelque?

Albin:

part. peut-être aussi Tu me mets dans ton business.

Teddy:

Je commence par quoi.

Albin:

Tu vois ce que je veux dire Clairement, je pense que tu dois sûrement avoir raison sur l'analyse que tu viens de faire. Moi, quand je parle de fibre entrepreneuriale, je prends un mec qui est né avec ce truc-là, dont, déjà très jeune, tu vois qu'il va faire ça et tout. Moi, par rapport à ce type de personne-là, je pense être en décalage. Mais, comme tu as dit, moi j'arrive à m'adapter et puis j'aime ce que je fais. Forcément, tu peux peut-être me mettre au même niveau que ces gens-là, mais je pense que c'est peut-être un défaut, genre de se voir un peu moins bien que tu ne l'es vraiment, tu vois. mais moi, je pense que j'aurais toujours un peu en retrait par rapport à des personnes comme ça. Par exemple, tu vois, dans notre entourage, on a deux personnes qui tu vois qu'on a vu faire ça Et moi, ce n'est pas de l'humilité ou de, je pense être moins bien qu'eux, mais je pense que, sur la fibre entrepreneuriale, je suis un cran derrière ces deux personnes-là.

Teddy:

Après, je pense que je vois ce que tu veux dire, mais peut-être que ta vision est un peu biaisée, dans le sens où tu vois l'entrepreneuriat comme quelqu'un qui veut toujours croître tu vois ce que je veux dire ouais aussi, tu vois ce que je veux dire, c'est ça.

Teddy:

Mais je pense pas.

Teddy:

Tu vois, c'est ça il y a des entrepreneurs. Tu sais, un entrepreneur, c'est quelqu'un qui arrive à vivre de ce qu'il fait.

Donald:

Tu vois, et à partir du moment que tu arrives à vivre de ce que tu fais franchement, t'as réussi, parce qu'il y a des gens, tu sais, ça fait longtemps que tu ne dis plus allô patron, tu vois ce que je veux dire, c'est vrai désolé patron, je me sens mal aujourd'hui.

Teddy:

Je ne veux pas que ça se fait.

Donald:

C'est toi qui décide de ce que tu fais et de ce que tu ne fais pas. Moi, en tout cas, je te vois vraiment comme un entrepreneur totalement je te disais à Teddy, on a déjà passé quelques semaines ensemble, mais pour moi, quand Teddy parle de toi, je te vois totalement comme un entrepreneur, et je dirais même entrepreneur accompli, parce que ça marche ce que tu fais et tu n'as pas eu besoin de retourner travailler pour quelqu'un ou pour une société et être salarié.

Teddy:

Donc c'est très bien Et franchement, je te brge Et bravo à toi.

Teddy:

De fond, C'est cool. Et dernière question qu'est-ce qu'on peut te souhaiter? C'est quoi la suite pour la Golden Touch? Tu ne l'as même pas dit mais oui, c'est Golden Touch, c'est ça Golden Touch?

Albin:

Non, c'était avant tu vois, c'était pareil dans la présentation j'ai zappé cette partie. Là aussi, tu vois en fait, des fois, je te jure, j'ai l'impression que j'ai rien fait, alors que quand tu regardes, t'as fait plein de choses en fait. Bah oui, t'as fait plein de choses en fait. Golden Touch, c'est quand j'avais créé la première société avec Lorenz tu vois que vous connaissez qui était mon associé, tu vois. Et du coup, on s'est séparés. Tu vois, il n'y a pas eu de. Ce n'est pas quelque chose de mauvais.

Teddy:

On n'est pas en mauvais terme.

Albin:

Au contraire, on est toujours en super bon terme. C'est juste que lui, il ne c ça dans ma tête. Tu vois Donc, du coup, moi, j'ai racheté les parts de la société et j'ai changé le nom, et maintenant ça s'appelle Lifestyle Privacy.

Teddy:

Ok, ma bad.

Albin:

Voilà exactement, donc c'est l'ancienne Godenters.

Teddy:

Maintenant c'est.

Albin:

Lifestyle Privacy. Et pourquoi Lifestyle Privacy? C'est que pareil la niche. Eux, tu vois, ils ont ce côté où ils veulent tout le temps montrer le côté lifestyle, mais ils ne veulent pas trop en montrer, donc privacy tu vois. Et du coup, moi pour moi, quand tu travailles avec ces clients-là et que tu arrives à allier les deux, tu es sur l'autoroute avec eux, tu vois.

Teddy:

Ok, donc je vais reposer ma question alors. Qu'est-ce qu'on peut lui souhaiter à la Lifestyle Privacy. C'est quoi les prochaines étapes?

Albin:

Franchement plein de clients, plein de prestations, plein de chiffres d'affaires. Voilà, C'est ça.

Teddy:

Regarde tu sais, ce que moi, je vais te souhaiter, moi, ce que je vais te souhaiter, c'est qu'à un moment donné, tu sois en capacité d'avoir un assistant. Si tu es en capacité d'avoir un assistant, alors c'est ça que C'est là où je me dirais vraiment tu vois, tu es monté en gamme Et, encore une fois, comme tu as dit je sais que tu qu'on peut te souhaiter, parce que bah, assistant, assistant, j'ai pas, mais là, là, depuis peut-être un an.

Albin:

Tu vois, j'ai pris quelqu'un qui gère les réseaux sociaux.

Albin:

Tu vois, avant je le faisais tout seul c'était un peu, c'était un peu la merde et tout. Tu vois, les trucs étaient pas spécialement bien fait. Et là, ouais, depuis un an, je travaille avec une personne qui a sa société, toujours des choses pour créer du contenu, pour être attractif sur les réseaux sociaux, tu vois, et en tout cas, sur ça, ça m'a beaucoup soulagé. Maintenant, j'arrive à penser à plein d'autres choses que ce truc-là, tu vois, et ce truc-là, c'est vraiment super important, surtout de nos jours. Tu vois.

Teddy:

Parfait.

Donald:

OK, cool, écoute, t'as déjà tout dit. Donc, je pense qu'on va passer à la suite mais franchement, merci encore, albin, pour ton retour. C'est très enrichissant parce que t'as pu nous partager.

Teddy:

Merci à vous juste expliquer un peu le concept de cette suite-là.

Teddy:

C'est un nouveau concept En fait, c'est le Je m'en fous, je m'en fous pas. Je vais te proposer cinq sujets d'actualité qui sont dans ton domaine, Le luxe, etc. Cinq sujets, je vais juste lire le titre. Tu vas me dire si tu t'en fous ou tu t t'en fous pas. Donc, t'en choisis un. Et celui que tu choisis, après, on débat là-dessus, d'accord. Le premier, le premier sujet, c'est le ralentissement du marché mondial du luxe. Le deuxième, prada, qui rachète Versace. Le troisième, chanel, qui a investi dans sa chaîne d'approvisionnement en Italie. Le quatrième maintenant, on peut faire des diamants en laboratoire. Ouais, bah, ouais. Le cinquième, c'est maintenant, il y a des initiatives. Il y a de plus en plus de marques qui commencent à faire l'éducation sur les initiatives durables dans le luxe, tout ce qui est éco et réutilisable, Carrément, ouais. Donc, quel sujet t'intéresserait pour lequel tu aimerais donner ton avis? et après, bien sûr, on en discutera.

Albin:

On va en faire plusieurs ou c'est juste un Juste, un Juste un, ouais, juste un.

Teddy:

Le reste, je t' le premier le ralentissement du marché du luxe. Je vais juste donner quelques petits chiffres et après on pourra en discuter. LVMH a enregistré justement une diminution en 2024 de 5%. au dernier trimestre, kevyn, qui a subi une fuite de 15%. Après, en raison du recul de Gucci, gucci a perdu énormément de part de marché 26% de part de marché. Donc, ils anticipent justement encore une continuation, une baisse justement en 2025,. en plus de ce qui s'est passé dans les marchés avec Trump qui a été mis au pouvoir et ses dernières déclarations. Comment tu vois justement ça en fait? Est-ce que c'est quelque chose qui t'inquiète? Est-ce que tu le vois justement au niveau des marques, parce que tu fais affaire avec Gucci, etc. Comment tu le vois, toi, par rapport à ça?

Albin:

Moi, je veux dire, pour moi, c'est une conséquence logique du mélange de toutes les cultures qui sont en train de se faire, parce que maintenant, tu vois certaines paires de Nike, sous prétexte que c'est une collab, elles coûtent aussi cher que certaines chaussures Louis Vuitton. Tu vois donc, au final, et en plus, tu vois Louis Vuitton, bon, c'est vrai que ces derniers temps, ils ont repris un peu la com, ils ont pris des grosses Egeri, etc. Tu vois, mais tu demandes jeune de 15 ans maintenant, s'il préfère avoir la Jordan 1 de Travis Scott ou une paire de LV Trainer. Il va te prendre la Jordan Travis Scott, alors que la Travis Scott, elle, est plus chère que la LV Trainer.

Albin:

Donc, moi, je pense qu'aussi, il y a aussi un manque de rajeunissement de ces marques-là. Elles sont en train d'opérer le changement, par exemple, toujours chez Louis Vuitton. Tu vois, tu as Wen Banyama là, travis Scott, il fait des trucs avec Dior. Donc, ils ont compris ça et ils sont en train de rectifier le tir. Mais moi, je pense que tant qu'il y aura ce mélange de prix au niveau des différentes catégories, le ralentissement, il va continuer. Tu vois.

Teddy:

Donc, tu vois pas, tu le vois. Donc, toi, déjà, tu le vois, tu trouves ça logique, mais tu vois pas qu'à un moment donné, ça va te stopper parce que, ouais, non, non, Ok, non, moi je pense non, parce que le truc, c'est que, par exemple, tu vois Zara, au Canada, c'est considéré semi-luxe. En fait, en Amérique du Nord, c semi-luxe, alors que on le sait. Tu vois Zara, c'est ok, oui, c'est quand même beau, c'est stylé, etc. Mais en termes de qualité, c'est loin d'être luxueux. Mais c'est juste en cause du prix, en fait.

Donald:

Mais ils sont en train de changer leur politique aussi, Zara. Ils essayent de tendre plus vers le semi-luxe en augmentant leur prix et aussi la qualité. La qualité, ok, Parce que je regardais justement, je lisais un article là-dessus où les prix chez Zara ont explosé. Chez nous, je parle en Europe, ont explosé Et ce n'est plus les mêmes prix et ce n'est plus aussi abordable qu'avant. Ça ne m'étonne même pas, Mais ils essayent justement de suivre ces grosses maisons de luxe-là. Donc, c'est pour ça que tu parles de semi-luxe TG.

Teddy:

Ouais, c'est vrai. Après, c'est vrai que t'as mis un point avec quelque chose que j'ai même pas pensé, Mais c'est vrai que maintenant c'est incroyable T'achètes une nouvelle paire de chaussures.

Donald:

C'était de base, ça touche à toi avec les taxes.

Teddy:

Ouais, non, nous, c'est trop. Mais c'est vrai que t'as dit un truc, c'est que je te parle même pas des collabs, je te parle vraiment de la nouvelle qui vient de sortir, la réédition qui sort. De base, c'est 200$. Donc, si tu rajoutes une collab, comme tu l'as dit, par exemple la Tréviscott, je crois qu'elle est à 800$ et t'as 800-600$ je, je sais plus, ouais, et en resell, c'est n'importe quoi.

Donald:

C'est encore pire c'est encore pire.

Albin:

Tu vois, c'est encore pire. Moi, je me rappelle quand, le jour où Jordan, ils avaient sorti leur collab avec Dior, la France, 1 la chaussure, prix de sortie, je crois que c'était quelque chose comme 2000-2500 balles, et encore, tu peux même pas l'acheter. C'est-à-dire que tu dois être un bon client de la marque, tu dois avoir dépensé un certain montant dans la marque, chez Dior, pour pouvoir avoir le droit de l'acheter. Mais maintenant, le truc, c'est que, au resell, c'est des chaussures qui valent genre 16 000, 17 000 euros, etc.

Albin:

Mais moi, le jour de la sortie, je voyais les gens devant les boutiques, durs, faire la queue pour l'acheter, en fait. Mais j'ai dit mais en fait, personne ne l'a acheté. On nous dit que c'est la crise et tout, et vous faites la queue pour acheter une paire de chaussures à 2500 euros. Mais moi, vous mentez quand vous me dites que c'est la crise. Tu vois, tant qu'il y aura ce mélange des genres, des marques et tout, moi je pense que ça va continuer de descendre. En fait, soit tu fais du luxe, soit tu fais entre guillemets du bon marché. Mais commencer à faire les deux, moi, c'est pas un crossover que je trouve pertinent.

Donald:

Mais on peut aussi dire que, bon, l'évolution des choses fait qu'il y a aussi le côté culturel. Parce que c'évolution des choses fait que il y a aussi le côté culturel, parce que ces grandes maisons de luxe, comme tu dis, ils essayent de se renouveler Maintenant. C'est pour ça que, par exemple, le Vito, ils ont pris Pharrell, parce que c'est des gens qui viennent d'une certaine culture Et ils savent que ça peut attirer une nouvelle clientèle.

Albin:

Et je vais me compléter. Ce que tu dis, c'est clairement ethnique, tu vois.

Albin:

C'est clairement ethnique. ils savent pourquoi ils le font, tu vois. Mais pour rebondir sur ce que je disais, c'est que là même, par exemple, j'ai vu que là, nike, au niveau mondial, et tout, j'ai lu l'article sur LinkedIn récemment, nike, ils ont perdu en chiffre d'affaires, mais de manière incroyable, tu vois. Mais pourquoi? Parce qu'en fait, c'est la redondance des collabs, c'est l'augmentation des prix qui fait que, tu vois, maintenant, quand tu vas chez À la base, c'est pour faire du sport, c'est soit tu fais un jogging, pour que je fasse du sport soit je fais un jogging pour que j'aille en boîte.

Albin:

Tu ne peux pas faire le truc entre les deux. Moi, je dis que c'est le mélange de l'entête, la mixité, le mélange des genres, etc. Il y a des choses pour lesquelles c'est bien il il ya des choses pour lesquels c'est pas bien. Tu vois, moi, je trouve, dans l'industrie du textile, le retail, la mode, le luxe, et c'est pas, c'est pas une bonne chose, ou alors il faudrait le faire, mais à petit dos sur la. Moi, j'ai l'impression que collab, jordan, trévis, scott, louis xvi, j'ai l'impression qu'on a chaque semaine.

Donald:

En fait, tu, vois, c'est vrai, c'est noyé dans le truc tu vois c'est vrai, même avec des marques comme New Balance, qui reprennent d'énormes parts de marché, parce que New Balance, faut qu'on se le dise, c'est une marque de geeks quand on était plus jeune. Maintenant, tu vois, tout le monde, quasiment tout le monde, a au moins une part de New Balance, moi j'en ai pas, absolument.

Albin:

Il faut voir le prix des godasses, les gars, allez regarder les prix, allez regarder les prix. C'est de la folie. Mais honnêt, il faut voir le prix des gonasses, les gars, allez regarder les prix, allez regarder les prix. Tu vois, allez regarder les prix, c'est de la folie, c'est de la folie, c'est de la folie.

Teddy:

Mais honnêtement, tu vois, après, oui, en effet, tu le dis, il y a beaucoup de collabs qui, entre guillemets, qui tuent le luxe. Mais je ne veux pas te mentir. Au Canada, c'est un pays où, en France, par exemple, la France aussi, la France, c'est le pays où il y a le plus de nouveaux riches, donc de millionnaires, depuis le Covid en Europe, et au Canada, c'est la même chose. C'est un pays, après les Etats-Unis, c'est un pays où il y a énormément de nouveaux riches. Donc, en même temps aussi, tu vois les marques, elles se disent ouais, c'est vrai qu'on est en train d'inonder, les on délai marché, mais il y a beaucoup de gens qui vont avoir des moyens maintenant, qui n'avaient pas, tu vois.

Teddy:

Il faut qu'on aille chercher cet argent, parce que on sait qu'il y en a, bien sûr. Mais c'est vrai que pour monsieur et madame, tout le monde vas-y. moi, c'est bon, j'en ai marre. Air Force Blanche, normal, tu vois, et même pour ça t'est pas bénéfique, Bien sûr.

Albin:

Et, comme tu as dit, il faut qu'on aille chercher dans l'eau, parce que le business, il est partout, vraiment partout. Moi pareil aussi. Quand je me suis lancé, j'ai toujours pensé que pour créer une société ou faire quelque chose, en fait, il fallait avoir l'idée qu'elle allait révolutionner le truc. Alors qu'en fait, non, Moi, sur Instagram, il y a quelques jours, j'ai vu quoi C'était en Afrique. En fait, c'est un mec. Il a une planche de bois Et, en fait sa planche de bois, il l'utilise pour faire traverser les taxis-motos en deux rives.

Teddy:

Ah, j'ai vu ça en plus.

Albin:

J'ai vu ça. Il déplace la planche, il fait passer la moto le gars, il lui donne sa pièce. Il fait ça toute la journée. À la fin de la journée, t'as combien quand tu fais ça, Ouais Tu vois. Tu vois, il n'a pas une idée incroyable, tu vois.

Teddy:

Non, c'est vrai, c'est vrai, c'est vrai. Ouais, de toute façon, à un moment donné, tout a été créé. Donc, tu peux juste imiter, juste imiter. Plus t'appréciais toi que quelqu'un d'autre. C'est tout, c'est simple. C'est simple que ça, c'est simple. Mais en tout cas, merci. Ok, t'as joué le jeu, t'as répondu à un 1, donc c'est bon, on va passer à la suite. Non, deo, qu'est-ce qu'on?

Donald:

pense exactement, c'est comment t'es, j'ai j'ai, j' maintenant on va te poser, on le fait avec Alban, exactement, c'est toi l'invité, donc c'est toi qui est sur les grilles aujourd'hui là on va te poser des questions rapides il faudrait que je réponde sans réfléchir, en fait sans réfléchir, et après on peut en discuter, si tu veux ok là, comme je te connais, on va en discuter si tu veux.

Teddy:

Mais en fait c'est connais. On va en discuter si tu veux. Mais en fait c'est ça, on va te poser 10 questions rapidement et voilà.

Teddy:

Première sans réfléchir. Il faut que tu sortes. Ça sort.

Teddy:

C'est comme si je te dis Je te donne juste un exemple Messieurs Ronaldo, C'est R7. Voilà Ça c'est facile Ok ok, vas-y, vas-y, vas-y, on y va, vas-y, let's go. Vas y, teddy, je te laisse. Je te laisse. Ok, parfait, donc, vas-y. Donc, 10 questions, ok, parfait, donc, est-ce que t'aimes ça, toi? ouais, ouais j'aime ça, j'aime ça, ok, ok, vas-y, c'est parti, c'est bon, c'est bon, c'est bon sucré salé nuit ou jour, nuit sport ou jeu sport.

Teddy:

Film d'horreur ou film d'amour. Horreur, ok. Captain America ou Thanos, captain Captain, ok. Chaud ou froid. Chaud, afrique ou Occident, afrique, foot ou basket, foot Ok. Grand ou petit, grand, fesse ou sein.

Donald:

Oh, mais t'es dit C'est la dernière, c'est la dernière. Moi, je suis là pour l'imiter, je suis là pour l'imiter.

Teddy:

Je suis là pour l'imiter. Je suis là pour l'imiter je suis là pour l'imiter.

Donald:

Je suis le modérateur. T'es dit non.

Teddy:

T'es dit non on a un large public, qui nous écoute, t'es dit non.

Donald:

Allez une dernière question, allez pose une dernière question ok, ok, dernière question.

Teddy:

Allez pose une dernière question, ok, ok, dernière question. Vidéo ou audio vidéo?

Albin:

ok, carré, tu vois c'était simple, c'était pas tu vois, c'était pas tu voulais me faire des problèmes. Tu voulais me faire des problèmes.

Teddy:

Non, c'est rien, albin, tu vois, pendant la première saison.

Donald:

Voilà ce que j'ai subi. Si vous avez l'occasion, chers auditeurs, de réécouter la première saison d'Uniter Show, n'hésitez pas. Elle est toujours disponible sur toutes les plateformes. Mais c'est la spécialité de Teddy de poser des questions hyper embarrassantes et hyper gênantes. Il aime ça.

Teddy:

Je comprends mieux alors, en tout cas, non, tout ça, c'est la fin. Un grand merci.

Donald:

Merci à vous.

Teddy:

Merci à vous.

Teddy:

Franchement, c'était nice, on apprécie ton partage, ton parcours, c'est excellent. Franchement'était nice, on apprécie, on apprécie ton partage, ton parcours. C'est excellent, franchement, et comme tu le dis, en fait, c'est que, pour toi, quelqu'un qui pensait ou qui pense ne pas être entrepreneur, t'as réussi à faire tout ce que t'as fait et tu continues à faire ce que tu fais. C'est excellent. Donc, ça donne, honnêtement, comme tu dis, en France, il y a beaucoup de gens qui disent non, l'entrepreneuriat ce n'est pas pour moi, et, au final, malheureusement, enfin, heureusement, ils tombent là-dedans et il y a des erreurs que tu vas faire et il ne faut pas que ça t'empêche.

Albin:

Même moi moi, si tu me permetsariat, oui, non, je ne sais pas. Tu vois, franchement, moi, j'ai juste quelques conseils, tu vois, tirés de mon expérience personnelle. Tu vois, déjà, réfléchissez bien. Tu vois, c'est très dur. Tu vois, c'est très dur l'entreprenariat, mais, comme je vous l'ai dit, pour laquelle vous avez un attrait si t'aimes pas la nourriture, ouvre pas un restaurant, quoi, ça peut paraître con à dire, mais voilà, faut quand même le dire et essayer, dans la mesure du possible, de ne pas écouter les gens.

Albin:

Tu vois, à partir du moment où toi, t'as pris ta décision, tu veux te lancer, que c'est ce que tu veux faire, fais-le, parce qu'il y a toujours des gens qui voudront un peu projeter cette peur qu'ils ont sur toi, comme la question que tu m'as posée tout à l'heure. Si je retournais voir le mois d'il y a six ans, qu'est-ce que je me dirais? de ne pas m'écouter? et au final, j'ai quand même réussi à le faire, et je suis peut-être là où je suis, mais je l'ai quand même fait. Donc, n'écoutez pas les gens, soyez déterminés et ne lâchez pas. Et si vous faites tout ça, franchement, il n'y aura pas de soucis.

Donald:

Il n'y aura pas de soucis, vous arriverez à faire ce que vous voulez faire merci.

Albin:

Albin. Merci à vous, les gars, c'était sympa, on se retrouve sur quoi.

Teddy:

C'est quoi ta plateforme?

Donald:

c'est Lifestyle and Privacy sur Instagram et t'es que sur Insta ouais faire un site internet pour la conciergerie c'est pas nécessaire.

Albin:

Peut-être si tu fais un site vitrine, mais maintenant, tout se passe sur Instagram. On peut te retrouver sur d'autres réseaux, peut-être si tu fais un site vitrine, mais maintenant, tout se passe sur Instagram.

Donald:

Ok, d'accord, instagram, on peut te retrouver sur d'autres réseaux TikTok, je ne sais pas, tiktok avec la personne avec qui je travaille en ce moment c'est en réflexion en fait.

Teddy:

Ok, d'accord, prochainement, c'est un prochain, peu, potentiellement.

Albin:

Elle essaie de me convaincre Moi. Elle essaie de me convaincre moi. Je suis pas chaud, mais elle a des arguments.

Donald:

Honnêtement, on te conseille. Moi, personnellement, je te conseille. J'ai réussi à convaincre Teddy et maintenant c'est un adepte, c'est un adepte parce que je veux pas te mentir.

Teddy:

Honnêtement, l'algorithme de TikTok est beaucoup plus libre entre guillemets que celui d'Instagram donc t'ar tu arrives vraiment à toucher beaucoup plus de personnes. Donc c'est sûr et certain que si, en effet, tu cherches des gens qui sont fortunés, ce n'est pas forcément nécessaire pour toi, mais, honnêtement, ton contenu est beaucoup plus visible. Ok, d'accord.

Albin:

C'est ça En tout cas. Merci encore. On verra Merci à vous les.

Donald:

Franchement, albin, il a tout dit. Pour moi, on peut se quitter là-dessus. C'était le mot de la fin. Il s'est motivé, il a essayé de donner des conseils. Il a donné de très bons conseils, de très bons arguments. Et puis, il ne faut pas avoir peur. Voilà, il faut bien réfléchir, et si tu as un projet solide, il faut se lancer. Et puis, si tu tombes, tu tombes, tu te relèves, c'est tout, c'est comme ça L'échec.

Albin:

Ça n'a jamais tué personne. Ça sera le mot de la fin, les amis.

Donald:

Merci à vous, les gars.

Albin:

Merci, on se retrouve Allez, ciao.

Donald:

Ta femme ou ta fille Tu vois, albin, il aime trop ça, ta femme ou ta fille. Tu vois, albin, il aime trop ça. Il aime trop ça.

Teddy:

Il faut répondre là, c'est comment.

Donald:

Mais non, t'es dit, tu peux pas poser cette question là. Mais non, mais non, mais non. On peut pas répondre à ce genre de questions N'importe quoi. Oh non, Oh, je dégage, je dégage, oh, je dégage je dégage, c'est con. Je dégage Sous-titrage.

Teddy:

ST' 501.

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